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lundi 26 mars 2012

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Apple refuse les applis identifiant les utilisateurs


Apple va refuser les applis qui exploitent le numéro d’identification unique d’un appareil pour reconnaître les utilisateurs. La démarche est une réaction à la critique toujours plus importante émise à l’encontre des abus de confidentialité pratiqués par Apple.

Ces derniers mois, Apple et un grand nombre de créateurs d’applications ont été accusés à plusieurs reprises d’avoir utilisé le numéro d’identification unique (Unique Device Identifier ou UDID) d’appareils tournant sur iOS pour suivre le comportement des clients. Des applications utilisent les UDID pour pouvoir personnaliser des publicités. Une fois celles-ci partagées sur différents réseaux publicitaires et applications, il est en effet possible avec l’aide de ce genre de numéro d’identification d’établir une image correcte de l’utilisateur en question.

La semaine dernière, les premiers développeurs ont déjà laissé entendre que leurs applications n’étaient pas acceptées dans l’App Store, parce qu’elles utilisaient les Unique Device Identifiers. D’autres développeurs ne sont acceptés dans le magasin que s’ils demandent à l’avance aux utilisateurs la permission d’utiliser l’UDID de leur appareil.

En août déjà, Apple avait annoncé que les numéros d’identification uniques deviendraient tabous à terme pour les développeurs d’applications externes, et ce parce que l’entreprise entend, selon elle, mieux protéger la vie privée de ses utilisateurs. L’on ne sait du reste pas avec précision si Apple elle-même continuera d’utiliser ces UDID pour ses propres services tels Game Center ou iAds.

Alternatives
A présent qu’Apple bloque l’utilisation des numéros d’identification, nombre de développeurs devront rechercher des alternatives. Actuellement, les UDID sont surtout utilisés par les publicitaires, fournisseurs de jeux et testeurs d’applis. Il y a déjà des entreprises qui sont passées aux adresses Mac d’appareils WiFi, mais ici aussi, il est question d’abus de confidentialité.

( Source ; http://datanews.levif.be/ict/actualite/apercu/2012/03/26/apple-refuse-les-applis-identifiant-les-utilisateurs/article-4000072690950.htm )

Apple renforce la sécurité de son App Store

Apple vie privéeSuite à la découverte d'applications un peu trop curieuses, Apple a décidé d'apposer un nouveau filtre de sélection sur son kiosque en bloquant les applications accédant à l'identifiant unique des appareils.


Une étude publiée par un groupe de chercheurs de l'Université de Californie avait scruté plusieurs applications pour les terminaux iOS afin de repérer d'éventuelles fuites des données personnelles. Ces derniers ont mis au point un utilitaire baptisé PiOS capable de repérer les éléments transitant vers ces applications comme l'identifiant de l'appareil, les photos, les contacts, ou encore l'historique de navigation. Au total, 1407 applications ont été testées dont 825 obtenues au travers de l'App Store et 526 téléchargées depuis le répertoire non officiel de BigBoss via Cydia pour les terminaux jailbreakés. 21% des applications approuvées par Apple accédaient à cet identifiant unique contre seulement 4% pour les titres obtenus au travers de Cydia.

L'identifiant unique du terminal (UDID), repérable en connectant son appareil sur le logiciel iTunes, est, comme son nom l'indique, propre à chaque appareil, qu'il s'agisse d'un iPhone, un iPod Touch ou un iPad. Certaines applications, qui ne sont pas encore accessibles à tous au sein de l'App Store, ont parfois besoin de connaître cette chaine de caractères alphanumériques. En effet, ce mécanisme permet aux éditeurs de recueillir des testeurs et de n'ouvrir les vannes qu'à une sélection de gens directement au sein d'iTunes. L'UDID est également utilisé par des réseaux de jeux ou encore pour dresser certaines statistiques.

Cependant, cet identifiant était surtout exploité pour optimiser le ciblage publicitaire. Pour un identifiant unique, l'annonceur pouvait alors déterminer quelles publicités étaient plus pertinentes au sein de telle ou telle application autorisant cet accès. «  Dans un mois ou deux il y aura un impact sur toutes les régies publicitaires et les applications reposant sur la publicité », explique ainsi Andy Yang, PDG de la société Playhaven monétisant plus d'un millier de jeux sur iOS et Android, au blog TechCrunch. Il ajoute : « Chacun tente de trouver une alternative ».

Des solutions tierces sont en cours d'élaboration et déjà plusieurs projets ont vu le jour tels que OpenUDID ou OFUID.

( Source : http://www.clubic.com/os-mobile/iphone-os/actualite-483584-vie-privee-apple-renforce-securite-app-store.html )

Apple TV : vers une révolution de la télé ?

Il y a quelques jours, la marque à la pomme présentait la nouvelle interface de son Apple TV. A terme, ce boîtier pourrait bien être le symbole d'une véritable révolution dans nos salons. Mais il faut avant tout faire la différence entre deux choses : d'un côté, l’Apple TV telle qu’on la connaît : un boîtier  raccordé au téléviseur et commercialisé par Apple depuis mars 2007. De l'autre, ce que les Anglo-Saxons appellent "smart TV", le téléviseur intelligent, là ou les Français se contentent de voir un "téléviseur connecté". Ceci marque d'ailleurs à quel point les acteurs hexagonaux du secteur sont une fois de plus à côté de la plaque, malgré tous les efforts du CSA ces derniers mois pour leur ouvrir les yeux.
 
Pour l’instant, Apple n’a commercialisé avec la troisième version de son Apple TV qu’un petit boîtier qui, depuis la version 2, ne contient même plus de disque dur. Il s’agit en fait d’une tour de contrôle, qui récupère et affiche sur l’écran du téléviseur les contenus que vous souhaitez, qu'ils soient stockés sur un iPhone, un iPod touch ou votre ordinateur. Comme ce boîtier est également branché sur Internet grâce à la connexion Wifi ou le câble Ethernet de votre box, il est également possible d’aller chercher des éléments sur Internet. Soit des contenus gratuits, sur YouTube ou vidéo par exemple, soit des contenus payants comme de la musique, des clips vidéo ou des films que vous pouvez louer ou acheter sur l’iTunes Store.
 
On remarque au passage que l’adoption du standard 1080p, c’est-à-dire la  "véritable HD" sur l’iPad et la nouvelle Apple TV après l’iPhone 4S va très probablement donner envie aux clients de l’iTunes Store de se tourner vers des contenus estampillés HD, ce qui devrait mécaniquement faire progresser le chiffre d’affaires et le bénéfice d’Apple sur ce  segment.
 
L’Apple TV peut également servir d’écran géant pour jouer avec les appareils mobiles qui fonctionnent avec iOS et qui sont de plus en plus puissants. Les fabricants de consoles sont prévenus, et commencent déjà souffrir.
 
Mais il ne s’agit pas seulement de "consommer" des contenus, comme les industriels du secteur le disent abusivement, il s’agit aussi de contenus que les utilisateurs eux-mêmes ont pu créer, et même élaborer, avec les différents outils créatifs mis à disposition par Apple avec ses machines.
  
Apple fait là un pari machiavélique, qui fonctionne depuis au moins 2005. Les arrivées successives de l’iPhone et de l’iPad  n’ont fait qu’amplifier le mouvement : une fois que vous avez goûté à la simplicité d’utilisation des interfaces utilisateurs d’Apple, il est très difficile de passer à autre chose en dépit des efforts de la concurrence pour les banaliser.
  
D'ici la fin de l'année, Apple va lancer un véritable téléviseur intelligent, c’est-à-dire doté d’un système d’exploitation comme c’est actuellement le cas de l’iPhone ou de  l’iPad. De fait, le boîtier Apple TV disparaîtrait derrière l’écran, exactement comme l’électronique de l’iMac.
 
On se trouve ici dans un système cohérent, global. D'un côté, on trouve un pôle Apple TV ou smart TV, qui permet de diffuser des contenus éparpillés sur les différents appareils de la maison. A l’autre extrémité, sont stockés dans les nuages de façon totalement transparente un certain nombre de contenus achetés ou créés par l’utilisateur. Tablette et smart TV sont liées – c’est ce que Marc Geoffroy et moi avions appelé en 2005 "la bataille du divan" par rapport à "la bataille de la poche" qui était alors en train de se jouer avec le baladeur et le téléphone mobile.
 
Tout est en train de se jouer dans les mois qui arrivent, avec le système d’exploitation mobile, qu’il soit iOS, Android ou la version mobile de Windows, en tant que clé invisible. Le nouveau patron sera celui qui aura la plate-forme de développement la plus agréable et la plus à même d’attirer un maximum de développeurs. Or plus de développeurs égale plus de programmes, donc davantage d’utilisateurs. La hausse du nombre d'utilisateurs entraine à son tour la multiplication des développeurs attirés par le nombre de clients... Tim Cook a très bien expliqué le cercle vertueux dans lequel s'est engagée Apple.
 
Mais en tout état de cause, l’arrivée de la smart TV, de la dématérialisation des contenus tels qu’Apple a pu la mettre en oeuvre, aura un effet comparable sur la télévision à celui qui s’est produit dans le monde de la musique et de la téléphonie, et auquel on est en train d’assister en ce qui concerne la presse écrite et l’édition. À ceci près qu’il s’agit cette fois de regrouper tout ce qui était jusqu’ici épars sur les différents écrans de la famille sur cette nouvelle forme de téléviseurs. Même la domotique qui  est en train de balbutier ses premiers pas va s’en trouver transformée.
 
( Source ; http://www.atlantico.fr/decryptage/apple-tv-vers-revolution-television-gilles-dounes-317634.html )

Tim Cook aperçu à l’Apple Store de Pékin

Une photo publiée sur le réseau social Weibo témoigne de la présence du C.E.O d’Apple à l’Apple Store de Pékin, ce lundi. La visite de Tim Cook en Chine pourrait se traduire par des rencontres entre Apple et les trois opérateurs télécoms locaux, en vue de l’arrivée de la sixième génération de l’iPhone.


Tim Cook a été aperçu ce lundi matin à l’Apple Store de Pékin. Une visite qui n’est visiblement pas passé inaperçue puisqu’une photo du C.E.O d’Apple a rapidement été diffusée sur Weibo (le célèbre « Twitter » asiatique). L’Apple Store, visité par Tim Cook, est l’une des cinq boutiques d’Apple en Chine (deux à Pékin et trois à Shanghai), il a ouvert en 2010 à l’occasion du début de commercialisation de l’iPhone 4. Il s’agit de l’un des Apple Store les plus rentables au monde en terme de volumes de marchandises écoulées quotidiennement.
Le but du voyage d’une délégation d’Apple en Chine n’est pas connu officiellement. Toutefois, selon une source proche du dossier, Tim Cook aurait fait le déplacement pour rencontrer les dirigeants des trois opérateurs télécoms locaux en vue de discuter autour de l’arrivée de la sixième génération de l’iPhone dont le lancement devrait avoir lieu vers le mois d’octobre.
Le patron d’Apple pourrait également profiter de sa visite en Chine pour sceller finalement son partenariat avec China Mobile, le plus grand opérateur chinois qui compte plus de 600 millions de clients – dont 15 millions d’entre-eux utilisent un iPhone de manière détournée. De récentes rumeurs ont affirmé qu’Apple avaient des difficultés dans ses négociations avec China Mobile jugé « trop agressif ».
Alors que les ventes d’iPhone s’envolent en Chine, force est de constater qu’Apple s’intéresse de près au développement de ses partenariats dans ce pays. La Chine est devenue l’un des marchés les plus prospères en terme d’écoulement d’iPhone, juste derrière les États-Unis. En novembre, un analyste a estimé que les ventes d’iPhone en Chine pourraient dépasser celles des États-Unis et ainsi devenir le grand marché de ce smartphone au monde.

( Source ;  http://belgium-iphone.lesoir.be/2012/03/26/tim-cook-apercu-a-lapple-store-de-pekin/ - )

Elle réclame 1 million pour s'être fracturé le nez contre la vitre d'un Apple Store

 

Une Américaine de 83 ans a décidé de porter plainte contre Apple et réclame un million de dollars de dédommagements pour s'être fracturé le nez contre la vitre d'une boutique Apple.
Comme le relate le site Macrumors, il semblerait que le style architectural des boutiques Apple soit remis en cause par certains clients. De nombreux accidents ont en effet déjà été signalés et seraient dus à une présence trop importante de vitres à la transparence problématique. Si le modernisme épuré des boutiques Apple semble convenir à une certaine clientèle friande de nouvelles technologies, il peut s'avérer dangereux pour d'autres, dont certains visiteurs plus âgés.

"Il n'y avait pas d'autocollants de signalement sur les vitres de la boutique ou ils étaient placés à des endroits inadéquats. Ma cliente n'a pas de problèmes de vue mais n'a pu remarquer la présence de cette vitre", confie l'avocat de la plaignante, relayé par le magazine The Next Web.

L'incident a eu lieu dans une de ces boutiques Apple dotées d'une façade presque entièrement vitrée.

Ce n'est pas la première fois que ce genre d'incidents survient et il se pourrait que la négligence de la compagnie en matière de sécurité finisse par être reconnue...

A suivre.
( Source : http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/1414161/2012/03/26/Elle-reclame-1-million-pour-s-etre-fracture-le-nez-contre-la-vitre-d-un-Apple-Store.dhtml )

dimanche 25 mars 2012

L’iPad 3 est disponible en Belgique

L’iPad 3, tout dernier produit d’Apple, est disponible en Belgique dès aujourd’hui. De nombreux Belges se sont rendus tôt ce matin dans les Apple store.
L’iPad 3, tout dernier produit d’Apple, est disponible en Belgique dès aujourd’hui. De nombreux Belges se sont rendus tôt ce matin dans les Apple store.
© Belga Picture


Doté d’un processeur plus puissant et d’une image de meilleure qualité que la version précédente, l’iPad 3 est également doté d’un écran haute définition « Retina ». Sorti récemment dans d’autres pays, Apple a indiqué que l’appareil avait déjà été vendu à trois millions d’exemplaires en trois jours.
Selon Digimedia, de nombreux fans belges de la tablette tactile se sont rendus tôt ce matin dans les boutiques afin de s’assurer de repartir avec un exemplaire de la tablette.
 Si certains adeptes constatent clairement la différence entre l’iPad 3 et son prédécesseur, d’autres sont au contraire déçus, notamment par son espace de stockage limité à 64 Go. En témoigne la moindre effervescence d’adeptes, en comparaison avec les deux versions précédentes, lors du lancement du produit dans les dix premiers pays.
L’influent magazine de consommateurs américain Consumer Reports, a également indiqué que les tests effectués sur le nouveau produit faisaient état d’un phénomène de chauffe bien plus important que la version précédente durant l’utilisation d’un jeu.
Le Vif.be

samedi 24 mars 2012

Nouvel iPad, le petit tour des bugs

Surchauffe, mauvaise réception Wi-Fi, housses incompatibles, problèmes de recharge... Les soucis techniques semblent plomber le nouvel iPad. Nous l'avons testé pour en savoir plus.

Comme toute société, Apple n’est pas à l’abri de problèmes techniques sur ses appareils. Après l’affaire de l’antenne de l’iPhone 4, le fabricant américain est en train d’essuyer les critiques de ses clients concernant son dernier bébé, le nouvel iPad.
Une association américaine de défense des consommateurs, Consumers Reports, a ainsi annoncé, mardi 22 mars 2012, l’ouverture d’une enquête à propos de la chaleur excessive dégagée par le nouvel iPad. De nombreux consommateurs témoignent sur les forums d’autres problèmes : mauvaise réception Wi-Fi, housses Smart Cover incompatibles, problèmes de recharge... Nous avons décidé de réaliser nos propres tests pour vérifier ces témoignages.

Une surchauffe limitée

Le 
nouvel iPad chauffe plus
Le nouvel iPad chauffe plus
A gauche l'iPad 2, à droite le nouvel iPad
Oui, le nouvel iPad chauffe plus que l’iPad 2. Mais la différence de température est acceptable, entre 2,3 et 8,5°C, avec un maximum de 37°C sur le nouvel iPad. Pas de quoi se brûler les doigts ni utiliser l’iPad pour repasser ses tee-shirts.
Au sein de notre laboratoire 01Lab, nous avons mesuré avec une caméra thermique (à infrarouge) les températures de l’iPad 2 et du nouvel iPad au cours d’un jeu vidéo exigeant pour le processeur, Sky Gamblers : Air Supremacy. Résultat : sur la partie la moins chaude de la coque, en charge, l’iPad 2 atteint 24°C contre 34,7°C pour le nouvel iPad. Et sur le point le plus chaud, l’iPad 2 atteint 34,7°C contre 37°C pour la nouvelle tablette.
Du côté d’Apple, un porte-parole a précisé que sa tablette se situait « dans la fourchette de ses normes thermiques ». Le constructeur conclut que « si ses clients ont des soucis, il faut qu’ils contactent le SAV AppleCare ».

Une moins bonne réception Wi-Fi que l’iPad 2

D’autres consommateurs font état d’une moins bonne réception Wi-Fi avec le nouvel iPad qu'avec l’iPad 2. Nos tests montrent qu’il n’en est rien. Le petit nouveau semble même profiter d'une meilleure réception que son prédécesseur dans des environnements perturbés par de nombreux réseaux Wi-Fi.
 

Des problèmes de recharge


Le nouvel iPad mentirait quand il affiche que l’appareil est chargé à 100 %. Le Dr Raymond Soneira, de Displaymate Technologies, a mesuré que l’iPad continuait de se recharger encore une heure après avoir annoncé qu’il avait atteint 100 %. Ce serait donc un problème logiciel de calibrage de la batterie.
Il précise « les gens ont donc besoin de recharger leur iPad plus longtemps que le système ne le demande ». Ce problème n’a pas été relevé par Apple. Il pourrait être résolu par une mise à jour d’iOS. Toujours concernant la batterie, des utilisateurs témoignent qu’on ne peut pas recharger le nouvel iPad quand on joue. La firme à la pomme ne s’est pas exprimée sur ce sujet non plus. De notre côté, nous n'avons pas observé ce problème lors de nos longues heures d'utilisation du nouvel iPad.

Certaines housses Smart Cover incompatibles

Certaines housses Smart Cover pour iPad ne sont pas compatibles avec le nouvel iPad : la tablette ne passerait plus automatiquement en veille quand on replie la housse aimantée sur l’écran. Apple a confirmé ce souci et explique qu’il y avait un problème avec la SmartCover d’origine (elle n’avait pas la même polarité) et que cela a été corrigé depuis octobre 2011. Nous avons pourtant essayé avec deux vieux modèles de SmartCover sortis au moment de l’iPad 2 et nous n’avons pas eu de souci de mise en veille du nouvel iPad.
Au final, les prétendus problèmes techniques de l’iPad ne sont pas si graves et devraient être résolus avec une prochaine mise à jour du système. 
Et vous, avez-vous eu des problèmes avec votre iPad ?
 
( source : http://www.01net.com/editorial/562292/nouvel-ipad-le-petit-tour-des-bugs/ ) 
 

Apple dévoile un nouvel iPad avec une meilleure qualité d'image

Le groupe informatique américain Apple a présenté mercredi une troisième version de sa tablette iPad, dotée d'une meilleure qualité d'image, grâce à des pixels plus nombreux et une meilleure résolution que sur les modèles précédents.
Lors d'une conférence à San Francisco (Californie, ouest des Etats-Unis), retransmise par visioconférence à Londres, Apple a précisé que le nouvel iPad était doté de l'écran "retina display", qui équipe déjà ses iPhones les plus récents.
Avec notamment une nouvelle touche "micro" sur son clavier virtuel, la tablette, qui sera compatible avec les nouveaux réseaux de téléphonie cellulaire en 4G, est équipée d'un programme de dictée, qui fonctionne en anglais, français, allemand et japonais.
La qualité de la caméra a également été améliorée, à 5 mégapixels, et un stabilisateur vidéo, en plus de la prise de vue haute définition.
Apple a également annoncé mercredi un nouveau boîtier Apple TV, avec une interface simplifiée, pour renforcer sa présence sur le segment de la télévision connectée à internet.
( Source ;  http://www.rtl.be/loisirs/hightech/mobilite/733893/apple-devoile-un-nouvel-ipad-avec-une-meilleure-qualite-d-image )

Test-Achats accuse Apple

Test-Achats a, conjointement avec dix autres organisations d’utilisateurs étrangères, envoyé une ‘mise en demeure’ à Apple, parce que celle-ci ne respecte pas la période de garantie.
Apple s’en tient encore et toujours à une garantie d’1 an, ce qui est en contradiction avec la législation belge qui prévoit 2 années. Si Apple n’adapte pas son site web et ses documents contractuels en conséquence, Test-Achats menace de lui intenter un procès.
Les organisations de défense des consommateurs réagissent, à les entendre, aux plaintes récurrentes sur les garanties proposées par Apple. ‘Elle sont confuses, incomplètes et inadaptées à la loi belge. Certaines clauses sont même illégales et trompeuses’, selon un communiqué de presse de Test-Achats.
Test-Achats fustige le fait que les conditions de garantie sont décrites sur plus de 200 pages sur le site web d’Apple. La position selon laquelle les défauts doivent être signalés dans les 14 jours suivant l’achat, n’est pas non plus légal pour Test-Achats.
Fin de l’année dernière, Apple avait déjà été condamnée par le conseil de la concurrence italien à une amende de 900.000 euros, parce que les consommateurs n’étaient pas à même de comprendre leurs droits en matière de garantie.
( Source : http://datanews.levif.be/ict/actualite/apercu/2012/03/19/test-achats-accuse-apple/article-4000069396579.htm ) 

Le logo d’Apple va-t-il changer de couleur ?

Apple va verser un dividende et racheter pour 10 milliards de dollars d'actions

Après la conférence de Tim Cook à San Francisco, ce 7 mars, une rumeur court concernant le probable changement du logo Apple. Une touche de couleur viendrait frapper la pomme.

La rumeur sur le changement du logo de Apple circule sur le net. Le site Gizmodo a révélé une nouvelle version du logo, beaucoup plus colorée.
Les spéculations sont apparues après la conférence de Tim Cook à San Francisco. Juste après la présentation du nouvel iPad et de l’Apple TV, le remplaçant de Steve Jobs a laissé un dernier slide composé de la pomme, version arc-en-ciel.
La petite pomme a déjà beaucoup évolué depuis sa création en 1976 et son origine n’est pas encore établie. Certains racontent que Steve Jobs aimait les pommes ou qu’ils se sont inspirés de la société Apple Corps qui produisait les Beatles. On y voit aussi un hommage à Isaac Newton.
Le logo d’Apple est déjà passé par un arc-en-ciel de lignes avant d’aller vers des tons plus neutres, cette fois-ci, elles se fondent les unes dans les autres… Affaire à suivre.
( Source ;  http://www.rtl.be/loisirs/hightech/mobilite/734076/le-logo-d-apple-va-t-il-changer-de-couleur- )

Apple: les ancêtres de l'iPhone et de l'iPad dévoilés

Bashful, l'ancêtre de l'iPad

Cela faisait longtemps que Steve Jobs avait eu l’idée d’une tablette numérique et d’un téléphone multifonction. Apple a récemment dévoilé le prototype de l’iPad : Bashful. L’ancêtre de l’iPhone, WALT, est quant à lui réapparu sur eBay.
La compagnie Frog Design avait déjà créé en 1983 un prototype de tablette pour Apple. L’ancêtre de l’iPad s’appelle Bashful, nommé ainsi d’après le nain "Timide" du conte Blanche Neige. La tablette avait été commandée par Steve Jobs, qui espérait déjà à l’époque proposer une plateforme multimédia.
Bashful était relativement encombrante à cause de son clavier et sa batterie externe, mais permettait tout de même à l’utilisateur de l’emmener avec lui grâce à une poignée. La tablette ne sera cependant jamais commercialisée.
WALT, l’ancêtre de l’iPhone
Steve Jobs, l’ex-fondateur d’Apple, s’intéressait également aux téléphones bien avant l’iPhone. Il crée ainsi WALT (Wizzy Active Lifestyle Telephone) en 1993. Le téléphone était déjà doté d’un écran tactile et d’un stylet mais n’était pas transportable. Le prototype permettait également la reconnaissance d’écriture, l’utilisation de différentes sonneries et possédait un carnet d’adresses.
WALT, qui n’a jamais été commercialisé, a refait surface sur eBay où son propriétaire en demandait 6100 euros.
( Source  http://www.rtbf.be/info/etcetera/detail_apple-les-ancetres-de-l-iphone-et-de-l-ipad-devoiles?id=7733242 )

Bashful, l'ancêtre de l'iPad

Apple va verser un dividende et racheter pour 10 milliards de dollars d'actions

Le groupe informatique américain Apple a annoncé lundi qu'il allait verser l'été prochain à ses actionnaires un dividende pour la première fois depuis 1995, et qu'il lançait également un programme de rachat d'actions à hauteur de 10 milliards de dollars sur 3 ans.

"Même avec ces investissements, nous pouvons garder un trésor de guerre pour des opportunités stratégiques et nous avons plein de liquidités pour mener nos affaires", a souligné le directeur général Tim Cook, cité dans un communiqué.     
Au total, y compris un programme lié aux options d'achats de titres de ses employés, Apple prévoit de dépenser 45 milliards de dollars sur trois ans au titre de ces programmes.      
Le groupe dispose actuellement de plus de 97 milliards de dollars de liquidités, en cash et en titres financiers, et avait indiqué à plusieurs reprises ces derniers mois qu'il était en train de réfléchir à leur utilisation.      
A lui seul le dividende, à raison de 2,65 dollars par action et par trimestre, représente une dépense annuelle de quelque 9,89 milliards de dollars.      
L'action Apple gagnait 2,35% à 599,32 dollars dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse.      
Cette annonce de la firme à la pomme, dont le légendaire fondateur Steve Jobs est mort en octobre, intervient trois jours après le lancement de la troisième version en trois ans de la tablette iPad, qui a suscité un peu moins d'engouement en magasins que d'autres produits récents.
( Source : http://www.rtl.be/loisirs/hightech/actuweb/734586/apple-va-verser-un-dividende-et-racheter-pour-10-milliards-de-dollars-d-actions )

lundi 5 mars 2012

Apple dépasse 25 milliards d'applications téléchargées

Comme souvent avec Apple, le chiffre donne le vertige : le groupe californien a annoncé ce week-end avoir franchi la barre symbolique des 25 milliards d'applications pour iPad et iPhone téléchargées depuis sa boutique en ligne, l'App Store. Et, comme souvent avec Apple, ce nouveau seuil a donné lieu à une campagne de marketing très bien orchestrée : le 17 février dernier, la firme à la pomme a lancé un compte à rebours sur la page d'accueil de son site, en promettant un bon d'achat de 10.000 dollars sur l'App Store et l'iTunes Store à la personne qui effectuerait le vingt-cinq milliardième téléchargement.
Dimanche soir, le site d'Apple n'indiquait ni le nom ni le pays d'origine de l'heureux gagnant. En revanche, il a donné à cette occasion les noms des applications payantes et gratuites les plus téléchargées. Dans la première catégorie, c'est le jeu vidéo « Angry Birds » de l'éditeur finlandais Rovio qui arrive en tête, suivi de deux autres jeux, « Fruit Ninja » et « Doodle Jump ». Pour les applications gratuites, le grand vainqueur est Facebook, devant le service de musique en ligne Pandora Radio.

Une idée rejetée par Steve Jobs

Cette opération permet à Apple de montrer qu'il conserve une bonne avance sur son principal concurrent, l'Android Market de Google, lancé en octobre 2008 : ce dernier a annoncé en décembre dernier avoir atteint les 10 milliards d'applications.
Ironie du sort, Steve Jobs s'était longtemps opposé avec vigueur à l'idée d'un magasin d'applications en ligne. C'est pour cette raison que l'App Store n'a été lancé qu'en juillet 2008, soit plus d'un an après la sortie de l'iPhone. Walter Isaacson, le biographe du fondateur d'Apple, l'explique dans son livre : pour Steve Jobs, « pas question que des étrangers créent des applications susceptibles de polluer l'iPhone, notamment avec des virus, ou d'entacher son intégrité ».
Ce n'est qu'en mettant au point des règles draconiennes pour les développeurs que les ingénieurs d'Apple réussirent à persuader Jobs du bien-fondé de l'App Store. Les propriétaires d'iPhone ou d'iPad, en revanche, n'ont pas hésité à adopter ce modèle : si l'on se réfère aux derniers chiffres de ventes de ces deux terminaux, chaque utilisateur télécharge en moyenne 45 applications. 
( Source : http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/0201929537376-apple-depasse-25-milliards-d-applications-telechargees-298055.php)

Apple : 100 milliards de dollars bien embarrassantsApple : 100 milliards de dollars bien embarrassants

Le groupe envisage plusieurs pistes pour écouler son trop-plein de cash.

Apple a des soucis de riches. Que faire de 100 milliards de dollars de trésorerie disponible? La question est plus embarrassante qu'il n'y paraît pour Apple. Il ne se passe plus une présentation de résultats sans que les questions des analystes fusent sur le sujet. Ils en appellent à la reprise de la distribution de dividendes -pratique abandonnée par un Apple moribond en 1995 -, à la mise en place d'un programme de rachat d'actions ou à des acquisitions. Même Tim Cook, le PDG d'Apple, admettait fin février que son groupe dispose de «trop de cash», alimentant les rumeurs sur une possible reprise de la distribution de dividendes. Mais ce n'est pas si simple.
Les deux tiers de la trésorerie d'Apple sont hors des États-Unis. Le rapatriement de ce trésor de guerre, y compris sous forme de dividendes, aurait un coût fiscal énorme. Il pourrait en coûter plus de 22 milliards de dollars de taxes, selon Bespoke Investment Group. La dispersion géographique de la trésorerie d'Apple tient avant tout à son organisation qui repose sur de nombreuses filiales à l'étranger. Avec une première conséquence: certains pays, comme la Chine ou la Russie, limitent les remontées de cash. Apple est donc «condamné» à dépenser sur place tout ou partie des bénéfices réalisés.
Mais la société californienne est aussi une victime consentante sur d'autres territoires. Comme Microsoft ou Google, Apple a trouvé en Irlande son paradis fiscal. Une petite expatriation qui permet à Apple d'afficher un taux moyen d'imposition mondial de 24,2 % pour son exercice 2011. Soit dix points de moins que le taux d'imposition moyen des sociétés américaines.
Ce type d'organisation n'a absolument toutefois rien de particulier. Toutes les multinationales, ou presque, ont adopté le même schéma juridique et fiscal. Ce choix leur attire les foudres de groupes de protestations américains, qui rêveraient de voir les profits rapatriés et taxés aux États-Unis. Face à ces attaques, ces multinationales, réunies au sein d'un groupement baptisé Win America, ne se privent pas de mener d'intenses campagnes de lobbying, visant à obtenir une amnistie fiscale.

Plus d'acquisitions

À défaut d'y parvenir, chacun apporte ses solutions. Pour Apple, cela passe notamment par des acquisitions de sociétés à l'étranger. Fin 2011, l'américain a ainsi jeté son dévolu sur Anobit, une start-up israélienne spécialisée dans les mémoires flash, payée 500 millions de dollars. Une transaction modeste à l'échelle d'Apple, mais la plus importante de ces quinze dernières années. Et qui pourrait en préfigurer d'autres. Apple a aussi évoqué des prises de participation dans des sites de production en Asie, ce qui serait aussi un moyen de sécuriser ses approvisionnements. Au rachat d'entreprises à l'étranger pourrait enfin s'ajouter celui de portefeuilles de brevets. Apple a déjà réalisé plusieurs opérations majeures dans ce domaine, même si, pour le moment, elles ont toutes été réalisées aux États-Unis.
Enfin, le développement des Apple Store (magasins détenus en propre) est un bon moyen de réinvestir les liquidités. Tim Cook, le PDG d'Apple, a réaffirmé sa volonté de renforcer le réseau de distribution. Comme on ne prête qu'aux riches, on évoque désormais la prochaine ouverture d'Apple Store sur les Champs-Élysées.
( Source :  http://www.lefigaro.fr/societes/2012/03/02/20005-20120302ARTFIG00584-apple-100milliards-de-dollars-bien-embarrassants.php )

vendredi 2 mars 2012

Apple pourrait reprendre le bail du Virgin Megastore des Champs Elysées

appleVirgin s'apprêterait à libérer son emplacement du 52-60 avenue des Champs Elysées. Apple est au premier rang des repreneurs potentiels.

Apple est actuellement à la recherche d'emplacements de premier plan pour ouvrir des AppleStores. Or Virgin serait sur le point de libérer son emplacement de 7 000 mètres carrés sur les Champs Elysées, qui lui coûte trop cher. Le distributeur britannique de produits culturels, dont les ventes ont encore diminué en 2011, aurait engagé plusieurs cabinets immobiliers pour trouver un repreneur pour son local, d'après "Le Figaro". Et Apple serait sur les rangs pour le reprendre. La rumeur est d'autant plus alimentée par la présence à Paris de Tim Cook, venu négocier avec les éditeurs de presse la commercialisation de leurs contenus sur iPad. La marque américaine de prêt-à-porter Forever21 et le distributeur britannique Marks & Spencer seraient également intéressés par l'emplacement du Virgin Megastore sur la plus belle avenue du monde, ajoute le quotidien.
( Source : http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/apple-champs-elysees-0312.shtml )

Les nouvelles tablettes jouent leur différence face à l'iPad 3

Sur le stand Samsung au Congrès du mobile de Barcelone (Benjamin Ferran/Le Figaro). 

Quelques jours avant le lancement de la nouvelle tablette d'Apple, les fabricants de tablettes ont exposé leurs nouveautés à Barcelone. La tendance: le retour du stylet et une surenchère dans la puissance.

Apple joue les trouble-fêtes. Mardi soir, alors que la plupart des fabricants de tablettes présentaient leurs nouveautés au Congrès mondial du mobile à Barcelone, les médias ont été conviés à assister, la semaine suivante, au lancement du prochain iPad depuis San Francisco.
Durant quatre jours, les géants de l'électronique ont pourtant tout fait pour faire oublier l'iPad et marquer leur différence. Deux d'entre eux, Samsung et LG, ont choisi de livrer leurs nouvelles tablettes avec un stylet, suivant en cela HTC, qui s'était lancé dès l'an dernier sur ce créneau. Cet accessoire, qui permet d'écrire et ou de dessiner avec plus de précision sur l'écran, est récusé par Apple, qui ne croit qu'en l'écran tactile.
Une bonne part du stand de Samsung était ainsi dédiée à la Galaxy Note, disponible en deux versions. La plus petite, lancée en octobre, est à mi-chemin entre la tablette et le smartphone (écran de 5,3 pouces de diagonale) et peut faire office de téléphone. Le nouveau modèle, deux fois plus grand (10,1 pouces), est d'un format plus proche de l'iPad. Samsung y installera des logiciels spécialement développés pour le stylet ainsi qu'une suite de logiciels créatifs conçus par Adobe.
LG, dont le stand était à quelques pas de celui de Samsung, accordait lui aussi une large place à une tablette tactile accompagnée d'un stylet. Capable elle aussi de faire office de (gros) téléphone, la LG Vu adopte un écran en format 4/3, supposé être plus agréable pour lire des livres ou des magazines. Vendue dans un premier temps en Corée du Sud, elle sera livrée avec des outils pour les professionnels, facilitant la prise de notes et l'annotation de pages Web.

Pas d'innovation dans les écrans

Les autres concurrents d'Apple, qui n'ont pas cédé à la mode du stylet, ont de leur côté choisi de miser sur la puissance graphique face à l'iPad. Les chinois Huawei et ZTE, très en vue durant le salon de Barcelone, ont présenté tous deux des tablettes dotées de puces à quatre cœurs, deux fois plus que l'iPad actuel. Asus a lui préféré l'originalité avec le PadPhone, un ordinateur portable qui peut se transformer en tablette ou en smartphone.
Durant le salon, aucun fabricant ne s'est en revanche aventuré sur le terrain de la résolution de l'écran, où l'iPad 3 est très attendu. La nouvelle tablette d'Apple devrait en effet pouvoir afficher deux fois plus de pixels sur la même surface, et atteindre la même qualité que sur les smartphones haut de gamme. Ce type d'écran, dit «Retina display», est plus compliqué à produire, et donc plus cher. Il pourrait provoquer des difficultés d'approvisionnement d'iPad 3, selon le site DigiTimes.
Les concurrents d'Apple n'ont pas non plus proposé d'avancées majeures dans le logiciel. Ils restent en effet dépendants des avancées d'Android, dont ils ne maîtrisent pas le développement. Or, le système souffre d'un manque d'applications et n'est pas encore aussi attrayant que dans les smartphones, a reconnu le responsable du mobile chez Google, Andy Rubin. En deux ans, il s'est vendu 12 millions de tablettes Android, contre 50 millions d'iPad. Pour inverser la tendance, Google souhaite encourager les développeurs à écrire des logiciels compatibles avec tous les types d'écrans.
( Source : http://www.lefigaro.fr/hightech/2012/03/01/01007-20120301ARTFIG00695-de-nouvelles-tablettes-jouent-leur-difference-face-a-l-ipad-3.php )

Tim Cook à Paris : les dessous de la discrète visite du patron d'Apple en France

Tim Cook a succédé l'an passé à Steve Jobs à la tête d'Apple. (SIPA)

Tim Cook est bien à Paris et a dîné avant-hier avec les responsables des filiales "Europe" d’Apple : le patron d’Apple Europe, ceux d’iTunes, d’Apple Store On Line ainsi que leurs principaux collaborateurs. Bien entendu, le lancement de l’iPad 3 et sa préparation sont également au menu de sa visite parisienne.
Autre sujet dans l'agenda des dirigeants de la marque à la pomme, le développement des Apple Store à Paris. Comme l'écrit Le Figaro ce vendredi, la question d'une implantation sur les Champs-Elysées est effectivement à l'étude. Sauf que le groupe ne serait pas intéressé par l’immeuble où est installé aujourd'hui Virgin Megastore, beaucoup trop grand. Il s'agirait plutôt d'un jeu de chaises musicales. La Fnac, qui cherche à quitter son immeuble des Ternes, serait tentée par le Virgin des Champs-Elysées. Mais elle possède déjà une enseigne au 74 de la prestigieuse avenue parisienne. Du coup, elle pourrait céder cette adresse à Apple.
Enfin, il n'est pas exclu que Tim Cook rencontre ce vendredi le patron d’eBizcuss, pour aborder la question des litiges avec le canal de distribution des APR (revendeurs indépendants d’Apple). François Prudent, PDG de cette société contractuellement liée au groupe californien, avait dénoncé en janvier à Challenges les méthodes d’Apple employées par Apple vis-à-vis des revendeurs indépendants (les APR, “Apple Premium Resellers”).
Apple privilégierait en fait son réseau de revendeurs en propre, les Apple Retail Stores (ARS), au détriment des APR, qu’il laisserait péricliter. Les griefs: produits non livrés à temps, marge réduite par rapport à celle des ARS, création d’ARS dans des zones de chalandises où se trouvent déjà implantés des APR rendent la vie des APR très difficile. Conséquence: "notre chiffre d'affaires a baissé de 30% lors du troisième trimestre 2011 (alors qu’Apple a vu son CA croître de 60% cette année-là), notre action a baissé de 50% depuis un an, et notre capitalisation boursière a été divisée par 5 depuis deux ans, sans parler de l’emploi des 130 salariés en France, qui est menacé", avait déclaré François Prudent à Challenges.
( Source : http://www.challenges.fr/high-tech/20120302.CHA3857/tim-cook-a-paris-les-dessous-de-la-discrete-visite-du-patron-d-apple-en-france.html )

jeudi 1 mars 2012

Steve Wozniak juge les 1.000$ crédibles !

Steve Wozniak, co-fondateur du Californien Apple, a jugé sur CNBC qu'un cours de 1.000$ sur le dossier était possible, du fait du potentiel de croissance de la compagnie et de la nature intégrée de ses services et produits. Actuellement, Apple vaut environ 544$ et capitalise déjà plus de 500 Mds$, une performance très rare historiquement à Wall Street. Le Groupe de Cupertino est déjà de loin la première capitalisation boursière au monde. Wozniak explique que les magasins d'Apple, iTunes, l'iPhone, l'iPad et les ordinateurs constituent des divisions qui ne sont finalement que "beaucoup de compagnies en une", chacune étant excellente.
Wozniak croit donc qu'Apple parviendra à atteindre le cours incroyable de 1.000$, même s'il "ne suit pas vraiment les marchés actions".

( Source : http://www.boursier.com/actions/actualites/news/apple-steve-wozniak-juge-les-1-000-credibles-473019.html )

Le patron d'Apple, Tim Cook, en visite secrète à Paris ?

EXCLUSIF Le jet du successeur de Steve Jobs est en ce moment même stationné à l'aéroport du Bourget. Le PDG d'Apple est vraisemblablement venu en personne en France pour régler le litige avec une partie de ses revendeurs. 

Mais que peut donc faire Tim Cook à Paris ? Le site macbidouille.fr indique que son jet est arrivé hier à l’aérodrome du Bourget et y est stationné depuis. Selon nos informations, il serait venu dans la capitale pour traiter plusieurs dossier épineux, notamment celui de la négociation des éditeurs de presse concernant la commercialisation de leurs titres sur l’iPad, et celui du réseau de revendeurs indépendants d’Apple -les APR, ou "Apple Premium Resellers". 
Il est également vraisemblable que, dans le cadre du lancement de l’Ipad 3 dans une semaine, il soit venu renforcer ou créer des partenariats avec des éditeurs de contenu français, comme Le Monde et Hachette, à qui Apple avait présenté l’Ipad en exclusivité peu de temps avant son lancement.
Interrogé pour savoir si leur patron était effectivement à Paris, le service de presse d’Apple France se contente d'une réponse lapidaire : "Nous ne commentons ni les rumeurs ni les spéculations". De même que, contacté pour savoir s’il allait rencontrer ou avait déjà vu Tim Cook, eBizcuss, l’un des principaux revendeurs Apple indépendants en Europe, a répondu par la voix de l'un de ses dirigeants : "je ne peux rien vous dire pour l’instant, pas de commentaire”.
On se souvient que François Prudent, PDG de eBizcuss, avait dénoncé en janvier dans Challenges.fr les méthodes agressives d’Apple vis-à-vis de ces revendeurs -Apple privilégierait en fait son réseau de revendeurs en propre, les Apple Retail Stores (ARS), au détriment des APR, qu’il laisserait péricliter. Produits non livrés à temps, marge réduite par rapport à celle des ARS, création d’ARS dans des zones de chalandises où se trouvent déjà implantés des APR, obligations diverses et contraignantes (notamment au niveau de la déco) rendent la vie des APR très difficile.
Conséquence : "notre chiffre d'affaires a baissé de 30% lors du troisième trimestre 2011 (alors qu’Apple a vu son CA croître de 60% cette année-là), notre action a baissé de 50% depuis un an, et notre capitalisation boursière a été divisée par 5 depuis deux ans, sans parler de l’emploi des 130 salariés en France, qui est menacé", avait alors déclaré François Prudent à Challenges.fr le 6 janvier dernier.
"Depuis la disparition de Steve Jobs, les gens ont peur pour leur emploi"
Interrogé sur le fait de savoir si la nomination de Tim Cook avait fait évoluer la position d’Apple, il avait répondu : "Je ne sais pas si les choses vont mieux ou moins bien depuis la nomination de Tim Cook. Ce que je peux dire, en revanche, c’est que depuis la disparition de Steve Jobs, on sent que les gens ont peur pour leur emploi et qu’ils n’osent pas bouger".
Enfin, quant à la question de savoir quelles questions il aimerait poser à Tim Cook s’il devait le rencontrer, François Prudent avait répondu : "En cas de dilemmes - et ils sont potentiellement nombreux -, Apple favorisera toujours ses Apple Stores. Mais dans ce cas, pourquoi conserver un réseau de revendeurs ? Surtout s’ils refusent de nous livrer les produits au bon moment, et qu’ils nous imposent des prix excessivement élevés -ou des marges excessivement faibles, ce qui revient au même. Mais ce que nous voulons surtout, c’est que Apple vienne enfin nous expliquer quelle est sa stratégie multicanal, et quelle est la place du réseau des revendeurs dans cette stratégie."
Tim Cook profiterait donc de sa visite parisienne pour régler ce dossier : "il n’est pas du tout absurde que le patron d’Apple se déplace en personne pour régler ce type de litige, confie une source proche du dossier : les enjeux financiers en cas de litige juridique pourraient être considérables".
( Source : http://www.challenges.fr/high-tech/20120301.CHA3842/le-patron-d-apple-tim-cook-en-visite-secrete-a-paris.html )

iPad 3, iPad Mini, iPad 2 lowcost, Apple TV : tout ce qu’Apple va annoncer lors de sa Keynote

Keynote iPad 3

L’information est officielle depuis 48 heures : la Keynote de l’iPad 3 aura lieu le mercredi 7 mars 2012 à San Francisco sous l’égide de Tim Cook. La troisième version de la tablette ne sera pas la seule star de la journée.  
Des rumeurs évoquent la sortie d’une nouvelle Apple TV, voire d’un iPad 2 lowcost. Passage en revue des annonces qu’Apple pourrait faire mercredi.
L’iPad 3 : la tablette devrait clôturer la Keynote de Tim Cook. Il est pratiquement acquis que l’iPad 3 aura un écran Rétina haute résolution, deux caméras de qualité supérieure à celles de l’iPad 2 mais aussi le support de la 4G et un nouveau processeur.
Les pré-commandes devraient débuter dès la clôture de la Keynote (aux alentours de 21 heures en France). Sa commercialisation aux États-Unis aurait lieu deux jours plus tard, le vendredi 9 mars. Il faudra attendre le vendredi 23 mars pour la France et une partie de l’Europe.
iPad 2 lowcost 8 Go : DigiTimes a lancé une nouvelle rumeur ce jeudi pour cette Keynote. Apple annoncerait la sortie d’un iPad 2 de seulement 8 Go. L’idée de l’entreprise Américaine serait de concurrencer Amazon et sa tablette lowcost. Le prix de cet iPad 2 8 Go se situerait aux alentours de 200 euros.
Apple TV : 9 To 5 Mac annonçait en début de semaine la sortie d’une nouvelle version de l’Apple TV en même temps que l’iPad 3. Le boitier que l’on peut connecter à son ordinateur ou sa télévision devrait disposer d’un nouveau processeur plus puissant. Le design devrait rester identique à la version actuelle. Il précédera sans doute la Smart TV Apple que l’on attend pour la Keynote de juin ou celle de l’automne.
iPad Mini : l’annonce de la sortie de l’iPad Mini est peu probable mais sait-on jamais. Il s’agirait d’un iPad avec une taille d’écran plus petite comprise entre 7 et 8 pouces. Apple voudrait occuper ce segment pour couper l’herbe sous le pied de l’Amazon Kindle Fire et de la future Google Tab. Sauf que l’existence de cette mini-tablette est controversée. De même que la date de sortie potentielle qui pourrait plutôt avoir lieu à la fin de l’année 2012.

( Sourc :http://www.menly.fr/high-tech/smartphone-tablette/57470-apple-keynote-ipad-3-annonce-ipad-mini-apple-tv-ipad-2-lowcost/ )

Apple TV : soupçons de renouvellement

L’Apple TV 2G est un produit de plus en plus difficile à se procurer dans les réseaux de distribution US, autres que ceux affiliés directement à Apple. D’après le décompte d’AppleInsider, cela fait maintenant trois semaines consécutives que Cupertino ne livre pas les stocks de boîtiers réclamés, les reportant d’une semaine à l’autre. Une pratique qui marque clairement qu’une nouvelle version est dans les tuyaux !
Best Buy a ainsi arrêté de vendre l’appareil, tandis que sa disponibilité est difficile chez Amazon, MacMall ou MacConnection. En revanche, l’Apple TV est toujours en stock sur l’AppleStore en ligne.


 Le site ne sait pas dire en revanche de quel bois l’Apple TV de nouvelle génération va se chauffer : on s’attend à un changement de processeur (A5X ? A6 ?), du support du 1080p, voire du Bluetooth 4.0 . Le nouveau boîtier pourrait bien profiter du lancement de l’iPad 3 le 7 mars pour se mettre à jour.
L’Apple TV devrait en toute logique rester au catalogue de Cupertino, y compris lorsque le smart TV sera de sortie (AppleInsider évoque désormais 2013) : il s’agit actuellement du seul accessoire proposant le support complet (audio + vidéo) d’AirPlay, une « killer app » pour iOS mais aussi pour OS X Mountain Lion.
( Source : http://www.macplus.net/itrafik/depeche-64720-apple-tv-soupcons-de-renouvellement )

Flipboard lance son édition locale pour iPhone et iPad en France

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Le PDG de Flipboard, le magazine social pour iPad et iPhone qui revendique plus de 8 millions de téléchargements, explique les spécificités de l'édition française et dévoile le business model de la société.

Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de Flipboard ?
Flipboard est un magazine social qui permet d'apprécier les informations, les statuts et les photos partagés sur les différents réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, LinkedIn... L'application agrège également les informations diffusées par les médias qui ont été sélectionnés par le lecteur. Celui-ci peut ensuite faire défiler rapidement les contenus partagés par ses amis et ses autres sources, grâce à des "flips" qui permettent de retrouver la sensation de la page qui se tourne.

Comment expliquez-vous le succès de Flipboard ?
Ayant fait partie de l'aventure Netscape dans les années 90, j'ai connu presque toutes les évolutions du Web, les bonnes comme les mauvaises. C'est au cours d'un voyage en avion courant 2009, alors que je lisais plusieurs magazines, que je me suis demandé pourquoi le contenu web avait aussi peu évolué et pourquoi il était aussi, disons le franchement, moche en comparaison du papier. Alors même que de nombreux leviers tels que les médias sociaux et l'iPad, qui est arrivé dans la foulée, existaient. Et c'est non sans une certaine ironie que j'ai réalisé que le salut du contenu web passait, sans doute, par le format papier et ses caractéristiques intemporelles que sont le design graphique, la sensation de tourner une page... C'est de cette manière que m'est venu l'idée de lancer un magazine social, un magazine qui a vu le jour presque en même temps que l'iPad.
Le succès de Flipboard s'explique parce que l'application répond aux attente des utilisateurs de l'iPad
C'est d'ailleurs parce que Flipboard a été développé et conçu pour l'iPad qu'il a connu un tel succès. Nous attachons en effet beaucoup d'importance à développer des applications qui tirent le meilleur de leur environnement. C'est ce même raisonnement qui a motivé le développement de notre application iPhone sur laquelle on retrouve la qualité de l'application pour iPad, avec des rubriques organisées autrement, en tenant compte de la différence de taille de l'écran. Un exemple : sur l'iPhone, on feuillette de manière verticale. Le contenu apparait sous la forme d'une pile de cartes que l'on explore en tapotant sur chaque pile.

Que représente le marché français pour Flipboard ?
Même si je ne peux pas vous communiquer de chiffre précis, je peux vous affirmer que la France fait partie de notre top 5 en nombre de téléchargements et que notre audience ne cesse d'y croître, au vu notamment du succès de l'iPod et de l'iPad. Les Français sont très friands de visuels léchés et de réseaux sociaux, deux variantes qui sont le cœur même de notre succès. C'est donc presque naturellement que nous avons décidé d'y lancer une édition locale (l'application sera téléchargeable à partir de 15 heures, heure française). La France est ainsi le premier pays européen à bénéficier de sa propre version et le second, hors USA, après la Chine.

Quelles seront les caractéristiques de cette application ?
En plus de bénéficier d'une interface désormais entièrement traduite, les lecteurs de l'édition française de Flipboard auront également accès à un guide de contenus sélectionnés pour eux parmi des publications et des blogs français, ainsi que d'autres sources de contenus.
La "une" est alimentée par vos contenus préférés et ceux de vos meilleurs amis
Autre grande nouveauté : la page à la une, la "cover story" dans sa version américaine, qui permet d'afficher les principales publications dans chaque catégorie ou réseau social que vous avez relié à Flipboard. L'objectif : réunir tout ce qui est important pour vous. Tout cela, grâce à une technologie qui nous permet d'agréger les contenus postés par les personnes qui vous "importent" le plus, c'est-à-dire celles avec qui vous interagissez le plus, dont vous appréciez souvent les publications en les "likant" ou les "retweetant". Vous n'êtes ainsi plus votre seul curateur, vos amis le sont également pour vous. L'application va, par ailleurs, étudier vos goûts afin de vous proposer des contenus toujours plus pertinents. Ainsi plus vous utilisez la fonction, plus elle s'améliore.

Quel est votre business model ?
Nous avons dans le monde 65 partenaires vers les publications desquels nous générons du trafic et touchons, par conséquent, un pourcentage du chiffre d'affaires réalisé par leurs publicités. C'est un chiffre que je ne peux vous communiquer mais je peux vous certifier que nous avons adopté un modèle gagnant-gagnant, permettant la création d'un contenu digital pertinent et léché, tout en partageant les revenus générés. Cette volonté d'esthétiser le contenu se retrouve également dans les formats publicitaires que nous proposons tel que le format de publicité pleine page, ici encore identique à celui que l'on retrouve sur le format papier.
Les formats de publicité pleine page se vendent 10 à 20 fois plus cher
C'est un format bien plus efficace que les bannières display que l'on retrouve habituellement sur le Web, elles, plus petites et moins bien intégrées au contenu. Plus besoin de cliquer sur une bannière pour accéder à la publicité plein écran, on "flip" pour naviguer dans l'application, passer d'une publicité pleine page à un article et l'expérience utilisateur ne s'en ressent absolument pas, tant l'opération est rapide. Cette volonté de ne pas altérer la navigation est l'une des raisons pour lesquelles nous ne supportons pour l'instant pas directement le format vidéo dans nos publicités, celui-ci étant trop lourd. Les éditeurs, quant à eux, n'ont rien à faire, nous nous chargeons de modeler automatiquement le contenu. Ce qui leur permet de vendre ce format de publicité 10 à 20 fois plus cher.

Qu'en est-il de la France ?
En France, notre premier et seul partenaire est Grazia dont la richesse visuelle se prêtait bien à l'expérience. Notre priorité reste pour l'instant de construire une audience significative, avant d'entamer des discussions poussées avec les éditeurs français. Il est cependant certain que nous mènerons, par la suite, des partenariats du genre de ceux que nous avons lancé aux Etats-Unis, comme celui noué avec Rolling Stone Magazine qui, plutôt que de créer sa propre application iPad, a préféré être présent sur notre support.

Quelles sont les perspectives à venir ? Envisagez-vous de vous lancer sur d'autres formats ?
Nous nous sommes pour l'instant concentrés sur iOS. Je dois pourtant admettre que nous sentons une véritable demande de la part des utilisateurs d'Android et les parts de marché croissantes de cet OS sur smartphone le rendent de plus en plus attractif. Nous y pensons, nous regardons les possibilités mais pour l'instant nous nous concentrons sur iOS et sur notre développement à l'international tel que l'édition chinoise que nous avons lancée début décembre. Environ 40% de l'audience de Flipboard vit en dehors des Etats-Unis, à nous de la cultiver.

Craignez-vous un concurrent tel que Google dont l'application Current, lancée sur iOS, pourrait vous concurrencer ?        
Notre succès a bien évidemment suscité des vocations. Si nous avons de plus en plus de concurrents, personne ne propose actuellement de service aussi complet que celui offert par Flipboard. Par exemple, Google Current n'a pas la dimension "social media" que nous avons, Google + mis à part. Il ne vous permet pas d'agréger vos flux Facebook, Twitter, Instagram...  Le service est dédié à la curation d'informations.
Par ailleurs, nous préférons nous concentrer sur notre propre développement, en ajoutant les réseaux sociaux qui émergent, en faisant attention au moindre détail. C'est une recette qui, pour l'instant, fonctionne. Nous comptons près de 8,1 millions de téléchargements dans le monde et près de 2 milliards de "flip" par mois... Sans parler de l'engagement utilisateur croissant que nous avons pu observer. Début décembre, un utilisateur passait en moyenne une heure par mois sur notre application, il en passe aujourd'hui deux heures, en partie grâce au lancement de la version iPhone. Facebook et ses 7 heures par mois ne sont plus si loin...
 

Mike McCue a cofondé Flipboard avec Evan Doll au début de l'année 2010. Après une expérience chez Netscape, comme vice-président en charge des technologies, il a lancé sa propre entreprise dédiée aux réseaux de communication, Tellme Networks, en 1998.  La société a été acquise par Microsoft en 2007 pour la somme de 800 millions de dollars.

( Source : http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/mike-mccue-mike-mccue.shtml?f_id_newsletter=6522 )

Les tops 10 des applis iPhone et iPad !

Gratuites ou payantes, ce sont les applications les plus téléchargées de la semaine dernière.

Apple communique les applications les plus téléchargées la semaine dernière sur iTunes. Sans surprise, les jeux tiennent une place prédominante, puisqu'ils représentent presque 70 % des applications présentes dans ces classements. La palme revient à Jetez-vous à l'eau, qui arrive première des applis payantes sur le mobile et la tablette d'Apple. Fort de son expérience sur console, l'éditeur de jeux vidéo EA réussit son pari avec quatre autres titres dans ces tops 10. La baisse de prix TV HD Pro, qui permet de regarder une dizaine de chaînes françaises, a fonctionné puisque le logiciel intègre les deux classements payants iPhone et iPad.
L'application ludique Vieillir son visage fait, quant à elle, l'événement dix jours après sa sortie en prenant la tête du classement gratuit sur iPhone. Sur la tablette, Pages et Skype résistent. Sur iPhone, ce sont WhatsApp Messenger et Free Music Download qui se maintiennent. Les journaux AutoPlus et Métro réussissent leur passage au numérique puisqu'ils s'imposent dans les applications gratuites de l'iPad. L'influence de AppGratuite se fait une nouvelle fois sentir avec les entrées de Belote et Coinche, Buy me a Pie !, Push-Cars et iEspagnols dans le classement. 
Et vous quels sont vos applications préféré ? 
Sur iPhone, applications payantes :
1. Jetez-vous a l'eau ! - Disney
2. WhatsApp Messenger - WhatsApp Inc.
3. Fruit Ninja - Halfbrick Studios
4. "Free Music Download Pro Plus" Free Music Downloader & Player - Apps2Be
5. Grand Theft Auto 3 - Rockstar Games
6. Angry Birds - Clickgamer.com
7. TV HD PRO - Global Software
8. Doodle Jump - ATTENTION : Jeu Incroyablement Addictif ! - Lima Sky
9. Reckless Racing 2 - Polarbit
10. Trucs & Astuces - Les secrets de l'iPhone - Intelligenti Ltd

Sur iPhone, applications gratuites :
1. VIEILLIR SON VISAGE - OLD MAGIC - Paycity Ltd
2. MONOPOLY Hotels - Electronic Arts
3. iStunt 2 - Snowboard - Miniclip.com
4. TETRIS® FREE - Electronic Arts
5. Push-Cars - RaLight Solutions
6. iEspagnol - Microton, s.r.o
7. Liste d'achats - Buy me a Pie! - Skript
8. Boost 2 - Jonathan Lanis
9. Jetez-vous à l'eau ! Gratuit - Disney
10. Move the Box - Bitchin' Games

Sur iPad, applications payantes :
1. Jetez-vous a l'eau ! - Disney
2. TV HD PRO - Global Software
3. Reckless Racing 2 - Polarbit
4. Belote et Coinche HD - Ludi.com SA
5. Grand Theft Auto 3 - Rockstar Games
6. Pages - Apple
7. SCRABBLE(TM) for iPad - Electronic Arts
8. FIFA 12 by EA SPORTS - Electronic Arts
9. Fruit Ninja HD - Halfbrick Studios
10. Sonic & SEGA All-Stars Racing - SEGA

Sur iPad, applications gratuites :
1. MONOPOLY Hotels - Electronic Arts
2. Metro France pour iPad - Publications Metro France
3. Boost 2 - Jonathan Lanis
4. Push-Cars - RaLight Solutions
5. Auto Plus HD - EMAS
6. Mafia Rush(TM) - Chillingo Ltd
7. Jetez-vous à l'eau ! Gratuit - Disney
8. Lep's World HD - NER Brothers
9. Wind-up Knight - Robot Invader
10. Skype pour iPad - Skype Software SARL
 
( Source : http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/planete-appli/les-tops-10-des-applis-iphone-et-ipad-01-03-2012-1436718_223.php )  Click here to find 
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RealDolmen veut sa part du gâteau Apple

L’entreprise de services ICT RealDolmen est depuis peu 'Apple Authorized Reseller' et devrait même dans les prochaines semaines devenir le deuxième 'Apple Authorized System Integrator' du pays, après Econocom.

RealDolmen envisage plusieurs perspectives pour être aussi active dans le monde d’Apple. "Il y a la demande plus forte de solutions mobiles par les entreprises, souvent pour l’iPad d’Apple", explique Conny Van den Steen, Business Strategy Manager Infrastructure Solutions chez RealDolmen. "Nous entendons dès lors assumer la combinaison de l’infrastructure et du développement d’applications. De plus, il y a la tendance 'Bring Your Own Device' (BYOD), où nous pouvons fournir des solutions de gestion et de sécurisation des appareils domestiques, comme les iPhone et iPad, que les gens emmènent au travail."


Van den Steen considère le marché des tablettes en partie comme une activité complémentaire pour le monde IT: "Il y a des années, avec la première génération de PC tablettes, l’on pensait qu’ils ne remplaceraient jamais les PC traditionnels. Il est clair aujourd’hui que tel est le cas tout au plus sur le plus petit marché des tablettes professionnelles robustes. L’utilisateur final dispose aujourd’hui de plusieurs appareils. C’est là une opportunité pour nous."


Cela veut-il dire que RealDolmen est passée jusqu’à présent à côté d’une part de ce gâteau Apple? "Oui et non. Dans certaines adjudications - où de l’équipement Apple était par exemple demandé comme alternative aux PC traditionnels -, il arrivait parfois que des clients choisissent un autre acteur pour la fourniture des appareils et nous pour l’intégration. Nous n’avons plus ce problème maintenant, car aujourd’hui, nous pouvons garantir une approche bout à bout."


Son concurrent Econocom était jusqu’à présent le seul 'Apple Authorized System Integrator' en Belgique et s’est donc déjà attiré d’importants clients pour réaliser un solide chiffre d’affaires. RealDolmen voulait-elle suivre cet exemple? "Il m’est difficile de parler à la place d’Econocom, mais il me semble qu’elle cible surtout les gros volumes", réagit Van den Steen. "RealDolmen par contre souhaite en tant qu’intégrateur offrir plutôt une valeur ajoutée. Pour nous, le marché Apple représente une nouvelle façon d’attirer les clients vers nos solutions et de renforcer notre activité existante. Notre but n’est donc pas avant tout de faire de gros volumes, même si cela est toujours bon à prendre évidemment..."


Van den Steen ajoute encore que RealDolmen prépare actuellement déjà deux 'proof-of-concepts' portant sur l’intégration de l’iPad dans quelques services publics. Elle ne souhaite cependant pas en dire davantage à ce propos. 

( Source : http://datanews.levif.be/ict/actualite/apercu/2012/03/01/realdolmen-veut-sa-part-du-gateau-apple/article-4000054319218.htm ) 

Est-ce que vous possedez ?