Apple et son iOS font main basse sur les revenus du jeu mobile

D'après une étude de la société d'analyse Newzoo, Apple dominerait très largement le marché du jeu vidéo sur téléphone portable, loin devant Google avec son Android et ses nombreux périphériques.

Dans le cadre d’une étude menée dans quatre pays, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne et la France, la société d’étude Newzoo vient de dresser un nouvel instantané du marché du jeu vidéo sur périphériques portables. Ainsi, en France, le nombre de joueurs sur supports mobiles (consoles et smartphones) s’élèverait désormais à 14,3 millions. Parmi lesquels 62 % joueraient sur téléphones intelligents et 14 % sur tablettes.

Au travers de cette étude, Newzoo pointe également une tendance, qui indique clairement une augmentation de la maturité de ce secteur : le nombre d’utilisateurs payants. Ainsi, 3,5 millions de joueurs seraient désormais des joueurs qui paieraient pour jouer, soit à l’achat du titre, soit sous forme de micropaiements.

Main basse sur les revenus

Dans cette course aux revenus, iOS est largement en tête, et pas seulement en France, l’observation étant valable dans les quatre pays étudiés. Dans l’Hexagone, iOS représente 89 % des revenus totaux, même chose en Allemagne, qui se décomposent entre 56 % pour les iPhone ainsi que les iPod et 33 % pour les iPad. De même, les paiements depuis le jeu sont plus fréquents sur iOS (87 %) que sur Android (78 %).

L’étude de Newzoo se penche également sur les périphériques utilisés pour jouer. Deux chiffres intéressants en ressortent. D’une part, les iPhone ne représentent que 2,8 millions des 8,8 millions de smartphones, qui équivalent à 62 % des périphériques mobiles de jeu. 2,8 millions d’iPhone auxquels il faut ajouter 1,1 million d’iPad et 1 million d’iPod touch. Car la force d’iOS réside bien évidemment dans sa présence sur la trinité d'appareils phares d'Apple. L’iPod touch demeurant, malgré une forte érosion de ses ventes, une porte d’entrée privilégiée dans l’écosphère du système mobile d’Apple.

 

D’autre part, les téléphones classiques, qui ne sont donc pas des smartphones, représentent en France encore 34 % des mobiles utilisés, soit 4,9 millions de téléphones. Là où ils ne comptent plus que pour 18 % des périphériques de jeux aux Etats-Unis, 19 % en Grande-Bretagne et 26 % en Allemagne.

Une croissance à deux chiffres

Newzoo voit dans cet état des lieux une situation très encourageante pour une croissance future à deux chiffres du secteur des jeux mobiles. Outre la montée en puissance inéluctable des smartphones, l’étude souligne l’importance de l’arrivée prochaine de jeu pour core gamers, ces joueurs qui jouent sur PC ou console de salon de manière assidue. Même si les éditeurs et développeurs se concentreront dans les mois à venir, selon Newzoo, sur la cible du mid-core gamer, ce joueur qui apprécie les gros titres sur consoles sans être pour autant un joueur invétéré.

Le jeu mobile n’est pas à prendre à la légère, il suffit de voir l’importance qu’il revêt dans la conception des appareils et dans la communication des fabricants de téléphones pour s’en convaincre. La convergence numérique dont on parle depuis si longtemps a trouvé, dans les smartphones, un nouvel avatar pour s’incarner.

 

( Source : http://www.01net.com/editorial/565451/apple-et-son-ios-font-main-basse-sur-les-revenus-du-jeu-mobile/ )

Apple se prépare pour le paiement mobile

Suivant le chemin dicté par Google et le Wallet de ses plus récents téléphones Android, Apple prépare tranquillement sa propre solution de paiement mobile, qui pourrait être un croisement de géolocalisation, d'étiquettes à numériser et de rabais à l'achat sur présentation de son iPhone.

Il n'est pas impossible qu'Apple opte également pour la technologie de communication de proximité NFC, déjà utilisée par Google, RIM et quelques autres déjà.

Utilisant des étiquettes dotées de circuits électroniques rappelant la RFID, le NFC est perçu par plusieurs comme la clé ouvrant grandes les portes du paiement mobile pour le grand public.

Ce n'est toutefois pas la méthode utilisée par Apple en ce moment, qui a mis en place un programme d'essai de paiement mobile autour de son campus de Cupertino, en Californie.

Ainsi, utilisant une application appelée Pirq, ses employés peuvent payer à l'aide de leur téléphone dans une cinquantaine de commerces et obtenir un rabais allant de 20 à 50% sur le prix de la marchandise.

Il leur suffit de numériser le Tag d'un produit pour l'acheter.

Ce Tag est une petite vignette développée par Microsoft, rien de moins, une sorte de code QR en couleur et plus élégant que les carrés en noir et blanc déjà fort répandus.

Si tout se passe comme prévu, Pirq élargira son offre à l'ensemble de la région métropolitaine de San Francisco.

Puis, selon ce que rapporte le portail américain TechCrunch, Pirq sera offert à l'ensemble de la communauté Apple, aux blogueurs spécialisés et enfin, à tous les propriétaires d'un iPhone.

Pour Apple, ça pourrait être un premier pas vers une utilisation plus systématique des comptes d'utilisateurs de son App Store, d'iTunes et de ses boutiques Apple, un élément-clé dans l'éventuelle création d'un système de paiement mobile intégré à ses produits.

( Source : http://techno.lapresse.ca/nouvelles/201205/08/01-4523168-apple-se-prepare-pour-le-paiement-mobile.php )

Apple préparerait un Macbook Air à moins de 800 euros

 

Selon des rumeurs venant de sa chaîne de fabrication asiatique...

Léger et facilement transportable, le Macbook Air s'est révélé pratique à l'usage. Mais son prix (à partir de 949 euros) n'est pas toujours intéressant à côté d'un Macbook Pro démarrant à 1.149 euros. Selon le site taïwanais Digitimes, les choses pourraient bien changer: Apple préparerait un Macbook Air à 799 dollars (sans doute 750-800 euros) pour le 3e trimestre 2012. Le site, qui a parfois vu juste par le passé, tient son information d'une source anonyme de la chaîne de fabrication d'Apple.

Moqué comme un ordinateur au rabais à ses débuts, le Macbook Air fut finalement le pionner de ces PC ultra légers qui se réveillent en un instant grâce à leur disque dur SSD (mémoire flash). Intel, Acer, Asus, Samsung et les autres acteurs du monde du PC ont tenté de réagir avec le concept marketing de l'Ultrabook chassant sur les terres d'Apple, avec un succès pour l'instant limité. La sortie de Windows 8 et un effort pour proposer des modèles à partir de 700 euros pourraient toutefois permettre à ces machines de décoller.

Apple n'a pas l'habitude de rogner sur ses marges en fonction de la concurrence ni de proposer des modèles «au rabais». En revanche, avec l'iPhone et l'iPad, l'entreprise propose déjà les modèles de l'année précédente, souvent équipé du minimum de mémoire, à un prix plus abordable. Avec la baisse du prix de la mémoire flash (surtout pour Apple qui en commande de grandes quantités avec l'iPhone et l'iPad), un Macbook Air 11 pouces à 800 euros ne semble pas totalement improbable.

750-800 euros serait-il un bon prix pour le Macbook Air, ou est-ce encore trop cher à côté d'un netbook, selon vous?

( Source : http://www.20minutes.fr/article/930247/apple-preparerait-macbook-air-moins-800-euros )

Apple souhaite récupérer le nom de domaine iPhone5.com

Dans une requête récemment adressée à l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), Apple demande la récupération du nom de domaine « iPhone5.com ». Un indice de plus sur le nom du prochain smarthphone pommé?

Concept d'iPhone 5 © DR

Nul ne sait encore comment se nommera le prochain iPhone. S’agira-t-il d’iPhone 5? iPhone 6? iPhone 4G? Ou plus simplement « New iPhone » (nouvel iPhone) en référence à l’appellation de la troisième génération de l’iPad?

Toutefois, nous apprenons qu’Apple s’intéresse de près au nom de domaine « iPhone5.com ». En effet, le site Cult of Mac relaye l’information selon laquelle la firme de Cupertino a récemment introduit une demande de récupération de ce nom de domaine auprès de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Le numéro de dossier est D2012-0951. Il s’agit d’une récupération car ce nom de domaine appartient à une tierce personne/société actuellement et est lié à un forum de discussions.

Apple a l’habitude de prendre le contrôle de noms de domaine en lien direct avec ses produits et ce n’est d’ailleurs pas la première qu’elle doit passer par l’OMPI pour récupérer un nom de domaine. En effet, il arrive que certaines personnes utilisent des domaines en rapport avec les noms de produits d’Apple pour espérer en tirer profit. Anecdote amusante relevée par la même source, Apple a déjà récupérer par le passé des noms de domaine qui appartenaient par le passé à un réseau de sites de pornographiques.

L’an dernier, le nom de domaine « iPhone 4S » a été récupéré par Apple seulement quelques semaines après avoir lancé son nouveau produit. Tandis que le nom de domaine « iPhone 4″, lui, a été récupéré seulement un an après sa commercialisation.

Alors que la plupart des sites Internet mentionnent le nom « iPhone 5″ lorsqu’il s’agit d’évoquer la sixième génération du produit, il ne serait finalement pas étonnant que le prochain smartphone d’Apple soit baptisé différemment.

( Source : http://belgium-iphone.lesoir.be/2012/05/07/apple-souhaite-recuperer-le-nom-de-domaine-iphone5-com/ )

iPhone 5 : Apple devra sortir le grand jeu pour concurrencer le Samsung Galaxy S3

 

Samsung a créé l’événement jeudi 3 mai avec sa conférence de presse « Samsung Galaxy S3″ à Londres devant un parterre de 2.000 personnes. Un rendez-vous au goût de Keynote pour présenter le nouveau smartphone de la marque. Un petit bijou de technologie qui va pousser Apple à se surpasser pour tenter de faire mieux…

 

Toute la question est justement de savoir ce qu’Apple va devoir inclure dans son iPhone 5 pour devancer le Samsung Galaxy S3. La rédaction de Menly a donc décidé de jouer les Marty Mc Fly et de se projeter dans l’avenir en listant les innovations que le smartphone de l’entreprise américaine devra proposer pour rester leader.

1 – Un appareil photo numérique supérieur au 8 mégapixels :

L’une des (mauvaises) surprises de jeudi soir réside dans le capteur photo du Samsung Galaxy S3. Samsung a choisi de rester au 8 mégapixels déjà présent sur le Samsung Galaxy S2 mais de développer la rapidité de l’appareil. On passe quasiment au mode rafale avec le Samsung Galaxy S3. Autre bonne pioche de l’appareil photo numérique du Samsung Galaxy S3 : la sélection automatique de la meilleure photo pour ce même mode rafale. Le smartphone choisit automatiquement la photo la plus nette.

Apple devra équiper son iPhone 5 d’un capteur de 10 voire 12 mégapixels pour passer devant le Samsung Galaxy S3. Mais pas seulement. Il faudra aussi installer un zoom optique digne de ce nom pour la photo et la vidéo. Il ne faudra pas non plus négliger la qualité du flash et la vitesse de déclenchement de l’appareil photo. Un véritable plus pour l’iPhone 5 serait de pouvoir prendre des photos en même temps que l’on filme. Plusieurs applications le proposent déjà mais Apple serait bien inspiré de l’installer par défaut.

2 – Un changement de design très attendu :

L’iPhone 4S avait déçu la presse et les plus fervents défenseurs d’Apple car le design était quasiment identique à l’iPhone 4. Cela n’a pas empêché Cupertino de vendre son smartphone comme des petits pains. Mais il faut reconnaître qu’après 2 ans d’existence on attend avec une certaine impatience un changement de design.

Samsung a d’ailleurs pris ce risque avec une certaine réussite pour dévoiler un Samsung Galaxy S3 en forme de galet. Une inspiration venue de la nature selon les explications de la firme coréenne. Apple pourrait opter pour la goutte d’eau. C’est du moins la rumeur qui circule depuis des mois sur la toile. L’entreprise de Cupertino garde jalousement le secret sur le sujet. On ne saura que le jour de la Keynote quelle orientation Apple et Jonathan Ive (le designer en chef) auront choisi.

3 – Le rechargement sans fil :

Samsung a été le premier à franchir le pas du rechargement de la batterie sans fil. Celui-ci va se recharger sans fil grâce à une base externe. Une vraie évolution qui est attendue également sur l’iPhone 5. Apple a une grosse carte à jouer sur ce sujet.

On imagine déjà un iPhone 5 pouvant se recharger en étant posé à proximité de son MacBook ou son iMac sans être relié par un fil à celui-ci. Apple a donc tout intérêt à exploiter au maximum son écosystème et adapter ce système à l’iPad et l’iPod Touch.

4 – La technologie NFC :

Là encore Samsung frappe fort avec la technologie NFC. Celle-ci va servir au paiement sans fil (sur le même mode que le Pass Navigo) mais pas seulement. La NFC va aussi être utilisée pour le transfert de données (photos, docs, contacts, etc…) entre deux Samsung Galaxy S3.

L’iPhone 5 devra impérativement être équipé de cette fonction si Apple ne veut pas être décroché sur ce secteur. Elle devra proposer la même chose que le Samsung Galaxy S3 et éventuellement un petit plus pour se détacher du lot.

5 – Accroître l’autonomie de la batterie :

Pour répondre aux nombreuses nouveautés, le Samsung Galaxy S3 a vu la capacité de sa batterie augmentée. On ne connaît pas encore son autonomie exacte mais elle est annoncée comme beaucoup plus importante que le Samsung Galaxy S2. Un bon point de plus pour un smartphone qui pouvait souffrir d’un manque d’autonomie en cas d’utilisation soutenue.

La même chose existe pour l’iPhone 4S. Les utilisateurs qui exploitent le smartphone voient fondre l’autonomie comme neige au soleil. Apple doit faire un gros effort sur la capacité de sa batterie en gardant toujours à l’esprit que l’iPhone 5 doit être au moins aussi fin que l’iPhone 4S.

( Source http://www.menly.fr/high-tech/smartphone-tablette/78241-iphone-5-samsung-galaxy-s3-amelioration-apn-design-batterie-nfc/ )

Apple et Samsung représentent 99% des bénéfices des ventes de téléphones portables

Une nouvelle étude d’Asmymco dévoile quelques chiffres plutôt effrayants du marché des téléphones portables. A eux deux, Samsung et Apple partageraient 99% des bénéfices des ventes de téléphones portables dans le monde. Le dernier pourcent irait à HTC. RIM, LG, Nokia et consorts perdraient tous de l’argent sur chaque vente d’appareil.

Le marché des smartphones et des téléphones portables se porte bien. Il y a deux ans, les bénéfices dégagés dans ce secteur n’étaient que de 5,5 milliards. Aujourd’hui, on frôle les 14,4 milliards. L’ennui, c’est qu’en quelques années, le marché a beaucoup changé. Là où 5 à 6 constructeurs se partageaient encore la vedette il y a deux ans, Samsung et Apple règnent aujourd’hui en maitres sur le marché, partageant les miettes avec HTC, BlackBerry, Nokia ou encore Sony et LG. On le sait depuis un moment : ces compagnies doivent investir et exploiter de nouvelles idées pour revenir en force sur le marché, car elles ne dégagent, d’après l’étude, aucun bénéfice des ventes de téléphones portables.
Apple enregistrerait à lui seul 73% des revenus du marché, contre 26% pour Samsung. Les deux entreprises ont capturé les revenus de leurs concurrents, qui luttent désormais pour rester en vie. Nul doute que les prochains flagships des différentes marques joueront un rôle majeur dans la définition des nouvelles règles du marché, avec d’un côté HTC qui continue d’investir dans des écrans larges de grande qualité, et de l’autre Nokia et BlackBerry qui se modernisent en arborant des looks beaucoup plus “trendy” et glamours.

( Source : http://geeko.lesoir.be/2012/05/04/apple-et-samsung-representent-99-des-benefices-des-ventes-de-telephones-portables/ )

Apple associé à Sharp pour sa TV ?

Le premier téléviseur Apple ou iTV serait produit à partir de février 2012 pour un lancement juste avant l’été. La firme de Cupertino aurait conclu un partenariat avec Sharp.
 

Consultant chez Jefferies, Peter Misek, confirme dans une note que s'est procuré Apple Insider qu'Apple dévoilera en 2012 son premier téléviseur LCD. La production débuterait en février au Japon, et c’est Sharp qui aurait été choisi pour un produit qui s’appellerait iTV.

 

L’objectif : un lancement officiel aux environs du mois de juin. Une période que Cupertino affectionne pour la révélation de nouveaux produits. Du côté de l’industrie des télévisions, il semblerait qu’on soit inquiet. Toujours selon M. Misek, l’objectif d’Apple serait de bousculer ce marché avec une innovation marquante afin de prendre 6 à 12 mois d’avance. Exactement comme ce fut le cas avec l’iPhone puis l’iPad.
Le point fort d’Apple : un écosystème autour d’iOS qui lui permettrait d’intégrer son téléviseur dans un univers pré-existant. Ce que Samsung, LG, Sony et les autres ne sont pas encore parvenus à réaliser.

( Source : http://www.cnetfrance.fr/news/apple-associe-a-sharp-pour-sa-tv-39765947.htm )

iTV : Le téléviseur Apple décliné en plusieurs tailles ?

Appelée pour l’instant l’iTV, cette première télévision Apple serait disponible en trois diagonales comprises entre 32 et 55 pouces.

Selon des sources japonaises, Apple aurait l’intention de lancer une gamme complète de téléviseurs, avec des tailles allant de 32 à 55 pouces. Selon ces sources relayées par un média australien, c’est bien Sharp qui serait le partenaire d’Apple pour cette iTV, et le lancement devrait avoir lieu au milieu de l’année prochaine. Sans doute en juin.

Autre information : le téléviseur serait équipé de la technologie Siri pour permettre aux familles de commander les programmes et les fonctions à la voix. Enfin, le processeur intégré, le A6 à priori, serait le même que celui qui équipera le prochain iPad.

La TV est l'un des secteurs auquel Apple ne s'est pas encore attaqué. Mais c'était l'un des derniers projets de Steve Jobs qui selon son biographe voulait "créer un téléviseur intégré ultra-simple à utiliser. Il serait totalement synchronisable  avec l'ensemble de vos périphériques et avec iCloud. (…) Il aura l’interface utilisateur la plus simple que vous puissiez imaginer".

( Source : http://www.cnetfrance.fr/news/itv-le-televiseur-apple-decline-en-plusieurs-tailles-39766276.html )

 

Apple cherche des composants pour son téléviseur

Un analyste américain affirme que la firme de Cupertino a pris contact avec des fabricants de composants pour la fabrication de son premier téléviseur. Il évoque même la fin 2012 pour la sortie de la TV Apple.

 

C’est encore et toujours Gene Munster, le consultant de Piper Jeffray, qui donne des informations sur le futur et premier téléviseur Apple. Cette fois-ci, cet analyste, cité par Apple Insider, a laissé traîner ses oreilles du côté des fournisseurs, et il révèle qu’Apple aurait pris des contacts pour trouver les composants qui équiperont son iTV (nom non officiel). Il évoque notamment une prise de contact avec un « gros fournisseur » spécialiste des téléviseurs.

Selon lui, c’est une nouvelle preuve qu’Apple envisage de lancer son premier téléviseur, et il parle d’une sortie pour la fin de l’année 2012. Pour Munster, Apple pourrait en vendre près de 1,5 million d’exemplaires même si l’absence, pour le moment, d’accord avec les majors et les diffuseurs pourrait plomber son intérêt

( Source : http://www.cnetfrance.fr/news/apple-cherche-des-composants-pour-son-televiseur-39768114.htm )

Le téléviseur d’Apple appelé iPanel ?

Un analyste suggère que le futur téléviser d’Apple, jusqu’ici connu sous le nom de code iTV, prenne le nom commercial de iPanel. Il prévoit également sa sortie pour le quatrième trimestre 2012

Dans la guerre que se livrent les analystes de tous bords à propos du futur téléviseur Apple, Peter Misek, du cabinet Jefferies, vient de prendre une longueur d’avance sur ses concurrents. Alors que très récemment, un consultant de CLSA évoquait sa sortie comme « un événement pour 2013 », M. Misek, cité par nos confrères de CNET.com, prévoit quant à lui une sortie au quatrième trimestre 2012, une période durant laquelle Apple pourrait écouler jusqu’à 2 millions d’exemplaires de sa TV, connue sous le nom de code iTV.

Justement, à propos de ce nom iTV, M. Misek explique que pour des raisons légales (une chaîne de télévision britannique appelée iTV aurait demandé à Apple de ne pas utiliser ce nom) et parce que les fonctions attendues de l’appareil dépasseront celles d’un simple téléviseur, Apple devrait choisir une autre appellation. Il penche pour iPanel.

Qu’il sache tout de même que ce nom est déjà assez répandu (une simple recherche Google le confirme) et que dans le domaine de la high-tech, iPanel a déjà été utilisé par Asus au début des années 2000 pour un petit boîtier affichant en façade d’un PC la fréquence et la température du processeur.

Pour le moment, on préférera donc s’en tenir au nom de code iTV… (EP)

( Source : http://www.cnetfrance.fr/news/le-televiseur-d-apple-appele-ipanel-39770495.htm )

 

Pas de téléviseur Apple avant 2014 ?Pas de téléviseur Apple avant 2014 ?

D’après un analyste de JP Morgan, selon lequel les conditions du marché des téléviseurs ne sont pas encore assez favorables, le téléviseur Apple ne devrait pas voir le jour avant 2014. 

Un téléviseur Apple lancé cette année ? Trop tôt répond sur CNET.com Mark Moskowitz, un analyste de JP Morgan. Ce dernier estime que les conditions du marché ne sont pas encore réunies pour qu’Apple tire suffisamment de profits d’un tel produit.

Il pense plutôt que le constructeur va opter pour une stratégie en deux temps avec d’abord le lancement d’une nouvelle version de son boîtier Apple TV en 2013. Un téléviseur Apple n’arrivera au plus tôt qu’en 2014 estime Moskowitz. Il faut également que l’offre ait de quoi séduire les consommateurs, notamment en ce qui concerne l’intégration des services de contenus dans une interface qui révolutionne vraiment les usages.

Dans sa biographie officielle, Steve Jobs explique qu’il pensait avoir trouvé la clé de cette interface inédite. Il pourrait s’agir d’un système de commande vocale dérivé de l’assistant Siri. Quoi qu’il en soit, Mark Moskowitz souligne que seule la perspective de marges d’exploitation à deux chiffres décidera Apple à se lancer sur le marché des téléviseurs. (EP)

( Source : http://www.challenges.fr/high-tech/20120505.ZDN7035/pas-de-televiseur-apple-avant-2014.html )

Le rival de l'iPhone déboule en juin

 

Deux ans après avoir bousculé le marché des mobiles Android avec son smartphone Galaxy S, et un an après avoir vendu 20 millions d'exemplaires de son SII, Samsung vient d'officialiser l'arrivée, début juin, de son troisième rejeton, le Galaxy SIII. Avec un écran Super Amoled de 4,8'' (au lieu de 4,3'' pour le SII), le nouveau porte-étendard du numéro un mondial de la téléphonie se veut « inspiré par la nature ».
 
Innovations multiplesPlus menu que son aîné (136,6 x 70,6 x 8,6 mm pour 133 g), le SIII, disponible en blanc ou bleu et en 16, 32 et 64 Go, fait ainsi de l'intuitivité de son usage une force.
De fait, l'appareil intègre de multiples innovations. Pour appeler un contact dont on vient de recevoir un SMS, il suffit de placer le smartphone contre l'oreille pour que le numéro du correspondant soit composé. Intégrant un capteur de 8 mégapixels et tournant des vidéos en 1080p, le SIII optimise la reconnaissance des visages : il nomme automatiquement les personnes prises en photo pour peu qu'une image d'elles soit déjà présente dans vos contacts.
Une fonction baptisée « Sharing Easy » permet quant à elle à deux possesseurs de SIII d'échanger des données : grâce au NFC et au Wi-fi Direct, approcher les deux smartphones l'un de l'autre suffit pour lancer un transfert de photos, de vidéos ou de documents. La reconnaissance vocale fête aussi son arrivée sur leSIII. Très prometteur après notre première prise en main, le SIII, vendu 649 € nu (16 Go), place la barre un cran au-dessus de son concurrent direct, l'iPhone 4S.
( Source : http://www.20minutes.fr/article/928259/rival-iphone-deboule-juin)

Samsung révèle son Galaxy S3 doté d’un assistant vocal

Samsung a dévoilé, ce jeudi soir, la troisième génération de son smartphone Galaxy S équipé d’un processeur Quadcore, d’un écran de 4,8″ et d’un appareil photo 8 mégapixels. Le récapitulatif de la conférence de presse.

Lors d’une conférence de presse qui s’est tenue à Londres ce jeudi soir, Samsung a dévoilé la troisième génération de son “porte-drapeau” en matière de smartphone. Baptisée sans surprise “Galaxy S3″, le nouvel appareil est doté d’un processeur Samsung Exynos quadcore de 1,4GHz, d’un écran de 4,8″ pouces 720p, d’un appareil photo 8 mégapixels avec capteur rétro-éclairé + LED, d’une puce 3G/LTE, le tout dans un boîtier de 133 grammes et de 8,6mm d’épaisseur.

“Il vous voit, vous écoute et vous comprend”

Tel que l’iPhone 4S, le nouveau smartphone de Samsung dispose désormais de sa propre technologie de reconnaissance vocale. Nommée “S Voice”, il s’agit d’un assistant vocal intelligent qui sera capable de reconnaître votre voix pour composer le numéro de l’un de vos contacts, jouer votre musique préférée, “Il s’agit de l’expérience la plus humaine”, s’est targué d’indiquer Samsung.

Autre nouveauté, la fonctionnalité “Smart Stay” qui va décider si l’écran doit rester actif et ce, grâce à une analyse du visage effectuée par la caméra frontale. Mieux encore, lors de la lecture d’un SMS, il vous suffira d’approcher votre Galaxy S3 de votre oreille pour que celui compose directement le numéro de votre correspondant plutôt que de perdre du temps à effectuer une réponse textuelle.

Le Galaxy S3 met également l’accent sur le social. D’une part, l’appareil est en mesure de pouvoir analyser et reconnaître les visages des personnes et d’autre part, il va lier les photos “reconnues” directement dans les fiches contacts de votre carnet d’adresse et ce, avec la possibilité d’envoyer les clichés directement aux personnes concernées.

D’un point de vue connectivité, le Galaxy est équipé du Bluetooth 4.0, du NFC et Wi-Fi Direct qui permettra via “S Beam”de se connecter vers d’autres appareils munis de ces technologies. À cet effet, la fabricant sud-coréen mettra à disposition un SDK et des API qui permettront d’intégrer cette technologie vers de nouvelles applications à venir sur le Google Play.

À l’issue de sa conférence de presse, Samsung a également l’arrivée d’un dispositif de rechargement de la batterie sans fil. Il suffit simplement de poser son smartphone sur cet appareil et le rechargement a aussitôt lieu.

Alors que les rumeurs de ces dernières semaines prétendaient que le nouveau smartphone serait proposé sous Android et Windows Phone, le choix de Samsung s’est finalement porté uniquement sur la dernière version d’Android : Ice Cream Sandwich.

Le Samsung Galaxy S3 sera disponible en deux couleurs (blanc et bleu foncé), il sera décliné en trois modèles (16, 32 et 64Go). Sa commercialisation en Belgique est prévue pour la fin du mois. Son prix, lui, n’a pas encore été annoncé.

( Source : http://geeko.lesoir.be/2012/05/03/samsung-introduit-son-galaxy-s3/ )

Foxconn : pépins en série pour Apple

(SK Hon/EPN/NEWSCOM/SIPA)

Pour les branchés, l’iPad est le top du hi-tech. Pour les ouvriers fabriquant ces tablettes, c’est le symbole de l’exploitation. En 2010, Foxconn, sous-traitant taïwanais d’Apple qui fabrique les fameuses tablettes et autres iPhones, a été accusé d’appliquer des conditions de travail inhumaines dans ses usines en Chine avec une série de suicides d'ouvriers. En avril dernier, un accord a été trouvé entre Apple et Foxconn. Tim Cook, successeur de feu Steve Jobs, s’était même déplacé en Chine pour son premier voyage officiel. Pour autant, rien n’est réglé et des ouvriers ont menacé de se jeter du toit s'ils n'obtenaient pas des hausses de salaires.

 

Aujourd’hui, c’est la nouvelle usine de Jundiai, dans l’Etat de Sao Paulo au Brésil qui doit affronter une menace de grève. Les salariés protestent contre le manque d’eau et de nourriture sur place ainsi que les problèmes de transports. Le problème de fond serait la défaillance des infrastructures autour de l’usine.

 

Pourtant, l’aventure brésilienne de Foxconn s’annonçait bien. L’année dernière, c’est la présidente brésilienne Dilma Rousseff qui a elle-même annoncé le futur assemblage d'iPad à Jundiai, ville où Foxconn travaille déjà pour HP et Sony. Cet venue de Foxconn était une condition sine qua none pour qu'Apple entre sur le marché brésilien, le gouvernement refusant les importations de matériel Un investissement de 12 milliards de dollars est d’ores et déjà annoncé. Cinq autres usines  sont aussi prévues. Une preuve du poids des pays émergents dans le marché du hi-tech. Une avenue Steve Jobs est même crée en son hommage à Jundiai. 

Le problème Foxconn

Mais les choses prennent du retard. Le début de production, prévue initialement en décembre, a du mal à démarrer du fait des problèmes d’infrastructures et de formation des salariés. Mais surtout Foxconn veut obtenir des réductions fiscales avant de de lancer la fabrication. « Les discussions ont été très difficiles, et le projet d'un iPad brésilien est devenu incertain », affirmait même en septembre 2011 un représentant du gouvernement brésilien. La situation ne se débloquera qu’en janvier dernier après que le gouvernement brésilien ait accordé des exonérations à Foxconn.

 

Malgré les ratés de Foxconn au Brésil, Apple n’a pas arrêté ses ambitions. A plus ou moins long terme, des Apple stores pourraient voir le jour au Brésil. Mais cette stratégie vers les pays émergents est-elle une fuite en avant ? En fait, plus que la perspective de nouveaux marchés, c’est la hausse des coûts de productions en Chine qui a incité Foxconn à changer de stratégie. Du fait de la crise sociale, l’entreprise a fait passer son salaire minimal de 1000 à 2000 yuans environ du printemps 2010 au printemps 2011 et a préféré déplacer ses usines à l'intérieur des terres. L'entreprise a aussi choisi d'aller à l'étranger, notamment au Brésil. C'est la course au moins-disant. L’esprit pseudo-libertaire d’Apple et de l’industrie du hi-tech est avant tout totalement libéral.

 

Et la maison mère de Foxconn, Hon-Hai Precision, n’est pas au mieux, malgré les bons résultat d’Apple. Le groupe a fait un résultat net de 510 millions de dollars sur le premier semestre 2012, 31% en dessous des prévisions des analystes selon Les Echos. Sa marge brute est passé de 7,25% à 4,02% en un an. Une contre-performance dûe aux mauvais chiffres de deux autres donneurs d’ordre du groupe : Nokia et Motorola.
 

Des chiffres qui laissent entrevoir l’éclatement de la bulle Apple. Les ventes d’iPhones s’annoncent moins bonnes que prévues, le cours en Bourse chute. Une grève dans les usines Foxconn ne risque pas d’améliorer la situation. En France, avant même la mort de Steve Jobs, les médias français n’ont jamais pas assez de louanges pour le génie de la marque Apple. Aujourd’hui, une icône est en voie de tomber. 

 

«Apple, l’anti-modèle de la Silicon Valley »

Les livres de management ont rarement les faveurs du public. Avec néanmoins quelques exceptions. Comme cet   «Inside Apple» publié par les éditions Dunod et qui plonge le lecteur au cœur de la société qui produit vos plus beaux gadgets technologiques. Un ouvrage qui se lit comme un roman grâce à son écriture nerveuse, humoristique parfois, même si le sujet ne prête guère à la gaudriole.

Au fil des pages de ce document réellement captivant, on reste souvent pantois devant tant d’arrogance, de coups bas et de mystère entretenu en interne. Avec une épée de Damoclès permanente pour le salarié du groupe : le licenciement immédiat en cas de révélations sur la société.   Le secret. La matière première de la culture du groupe Apple. Pour s’en convaincre, il suffit de lire le chapitre consacré à l’engagement des nouveaux venus. Édifiant. «Apple est comme une secte dans laquelle on ne donne aux novices que des bribes d’informations. La loyauté n’est jamais présupposée. Les nouveaux éléments sont laissés hors de la confidence pendant un certain temps, au moins jusqu’à ce qu’ils aient gagné la confiance du chef.»
Une pratique du secret que Steve Jobs avait copié de celle pratiquée par Walt Disney . Un témoin raconte qu’ «aucune entreprise de la Valley n’entretient ce niveau de terreur interne à ce point. »  Un niveau de terreur entretenu pour conserver  ces règles d’excellence voulues et imposées par Steve Jobs. Rien  ne doit être improvisé au sein de la société.  

 Comme le précise l'auteur, Adam Lashinsky, journaliste pour le magazine Fortune et expert du monde de la Silicon Valley, «l’image publique d’Apple est fantasque et drôle. Mais en interne, elle est plutôt triste. Tout le monde a le nez dans le guidon.» «Si Apple était perçue à sa juste mesure, ses fans et ses ennemis y verraient un maelström de contradictions, une entreprise dont les méthodes vont à l’encontre de décennies de pratiques managériales bien établies. Apple cultive le secret à une époque où la tendance dans les affaires est à la transparence. Les bons managers savent déléguer. Steve Jobs, pdg d’Apple voulait absolument tout contrôler. De l’image de la société à l’emballage des produits. » Même les rapports de la société avec l’argent sont étranges. Ainsi, «garder près de 100 milliards de dollars sous son matelas n’est pas considéré comme de la bonne gestion financière à Wall Street.»
Pour Steve Jobs, faire de l’argent n’était pas le but premier. Difficile à croire mais pourtant confirmé au sein de l’ouvrage. «Le groupe Apple crée la plupart de ses produits tout simplement parce qu’il a envie de ces produits. Point.»
Un rapport à l’argent qui rend Apple unique dans le monde des affaires. Tout comme sa volonté de conserver l’esprit start-up.

 Tout naturellement, l’ouvrage  se termine par des questions qui restent encore sans réponses. Qui va remplacer Steve Jobs aux commandes de ce groupe hors-normes ? Quelle sera la stratégie adoptée par le groupe pour conserver son avance et éviter les pièges? «Révolutionner»,  le verbe sera-t-il celui qui sera encore le plus employé par le marketing d’Apple? Autant de questions parmi d’autres qui  trouvent une réponse dans cet essai qui devrait ravir les fans de la marque à la pomme.
Un ouvrage parfaitement complémentaire de la biographie de Steve Jobs rédigée par Walter Isaacson.

 «Steve Jobs parti, la concurrence n’a toujours pas Steve Jobs». Cette citation sibylline extraite de l'ouvrage témoigne du caractère unique d'Apple, une société qui ne pourra qu'être copiée. Jamais égalée. La lecture d' "Inside Apple" vous en convaincra.

 «Inside Apple. Dans les coulisses de l’entreprise la plus secrète au monde. » Par Adam Lashinsky. Éditions Dunod. 16 euros, 251 pages.

( Source : http://blogs.lecho.be/lupourvous/2012/05/apple-lanti-mod%C3%A8le-de-la-silicon-valley.html )

Sous la pression d’Apple, Target remplace Kindle par l’iPad

Bien que la tablette d’Amazon soit la seconde tablette la mieux vendue au monde, Target a décidé d’abandonner sa commercialisation et la remplacera prochainement par l’iPad. La décision colle avec l’adoption de mini-stores Apple dans les établissements du géant et à un « conflit d’intérêt » lié à la compétition entre Apple et Amazon.

Les magasins Target ont décidé d’abandonner la commercialisation des tablettes Kindle Fire. Si les derniers stocks devraient être écoulés, un responsable de la marque a indiqué qu’une fois les stocks vendus, Target ne commercialisera plus les tablettes d’Amazon. Elles seront progressivement remplacées par l’iPad d’Apple, qui fera son apparition en magasin des dans mini-stores Apple. Il va de soi que tout cela colle avec « les conflits d’intérêt » d’Apple et Amazon. Le géant de Cupertino est ainsi suspecté d’avoir mis la pression sur Target pour que les tablettes de son concurrent soient supprimées des étales. Etrangement, les tablettes de Barnes & Noble sont elles toujours acceptées dans l’enceinte du magasin…

Quoi qu’il en soit, ce nouveau partenariat stratégique devrait porter préjudice à Amazon et servir les intérêts d’Apple dans sa lutte pour la domination du marché.

( Source : http://belgium-iphone.lesoir.be/2012/05/03/sous-la-pression-dapple-target-remplace-kindle-par-lipad/ )

piratage-securite-malware-virus Kaspersky : Apple a dix ans de retard par rapport à Microsoft sur la sécurité IT

Eugene Kaspersky a fait du bruit la semaine dernière en déclarant lors d’Infosecurity de Londres qu’en termes de sécurité IT, Apple avait 10 ans de retard par rapport à Microsoft (« 10 years behind Microsoft in terms of security »).

Le fondateur de la société d’édition de logiciels anti-virus éponyme Kaspersky faisait une référence à la famille de malware Flashback qui a provoqué des frayeurs aux détenteurs de d’ordinateurs Mac (700 000 infectés recense-t-on en général). 

On considérait qu’il s’agissait de la première véritable attaque visant l’OS d’Apple jusqu’ici plutôt épargné par les pirates.

Des experts IT ont rapidement réagi : « Je dirais plutôt qu’Apple dispose de dix ans avant que la question de la sécurité ne devienne un sujet aussi risible que dans le cas de Microsoft », comment Jonathan Zdziarski, expert en investigation numérique pour le compte de ViaForensics (basé Chicago).

Il a récemment publié un ouvrage sur la sécurité liée aux applications iOS (« Hacking and Securing iOS Applications », Editions O’Reilly).

De son côté, Mikko Hypponen, en qualité de Chief Security Officer de F-Secure, considère que c’est difficile d’établir un lien entre Windows et Mac OS.

« Comparer Apple et Microsoft, ce serait comme comparer des pommes et des oranges. »

La firme finlandaise spécialisée dans la sécurité IT avait proposé un outil pour contourner Flashback avant Apple.

(Source : http://www.itespresso.fr/kaspersky-apple-a-dix-ans-de-retard-par-rapport-a-microsoft-sur-la-securite-it-52994.html )

Apple pourrait devenir un opérateur mobile

Cette rumeur, on l’a déjà beaucoup entendue, mais d’après Whitney Bluestein, un vétéran de l’industrie, elle devrait devenir réalité dans les prochaines années. Apple dispose en effet d’un vaste réseau de magasins à travers le monde, continue de s’agrandir et ne résistera probablement pas longtemps à l’attrait de devenir son propre maître en proposant différents plans tarifaires avec ses appareils. 

 

D’après Whitney Bluestein, ce n’est qu’une question de temps avant qu’Apple devienne un opérateur mobile. Pour l’heure, le géant des iGadgets se satisfait des conditions offertes par les opérateurs, comme  AT&T, qui verse des dizaines de millions de dollars à la société californienne tout en assurant la pub de ses produits. Mais la tentation deviendrait très vite trop grande. Difficile en effet de ne pas penser aux millions d’utilisateurs qui pourraient payer un abonnement mensuel pour leurs appels, SMS et Data. Difficile de ne pas penser aux milliers d’Apple Stores de par le monde qui ne demandent qu’à accueillir de nouveaux clients. Difficile enfin d’oublier ce brevet datant de 2006 tout juste reconduit fin 2011 et qui permettrait à Apple de devenir un fournisseur de services.

Mais quand? D’après Bluestein, cela pourrait arriver n’importe quand. Dans 1 mois comme dans cinq années. Il nous assure qu’Apple réfléchit à cette idée, et élabore certainement un plan pour rentrer sur ce marché. Tous les éléments sont entre les mains du géant américain : des Stores aux appareils, en passant par la possibilité d’offrir des plans tarifaires à l’achat d’un appareil, sans oublier la richesse d’iTunes qui pourrait très facilement offrir des services d’abonnement à la carte et une infrastructure complète pour un nouvel opérateur mobile.

Alors, rêve ou réalité? Pour l’heure, difficile de dire. Apple ne semble certainement pas prêt à devenir dans un futur immédiat un opérateur mobile, d’une part parce que la société empoche toujours des millions en provenance des opérateurs, et d’autre part car si elle souhaitait se lancer dans une telle entreprise elle devrait impérativement penser à tout pour éviter un échec commercial qui pourrait lui coûter très très cher. Difficile enfin de dire si le public serait intéressé par une telle offre et quitterait son opérateur habituel pour rejoindre une multinationale avec laquelle il n’aurait pratiquement pas de contact. D’un autre côté, il faut l’admettre, Apple a déjà de nombreuses cartes en main pour jouer un coup de poker…

( Source : http://belgium-iphone.lesoir.be/2012/05/02/apple-pourrait-devenir-un-operateur-mobile/ )

Guerre des smartphones : Samsung en tête, Apple le plus riche

EN BREF. Juniper Research vient de publier son étude trimestrielle sur l’état du marché des smartphones. Samsung repasse devant Apple en termes de ventes, mais la société américaine génère toujours plus de revenus.

La société d’études britannique Juniper Research vient de publier son étude sur l’état des lieux du marché des smartphones pour le premier trimestre 2012. Samsung et Apple continuent d’être au coude à coude pour la première place. Pour les trois premiers mois de l’année, Samsung a écoulé plus d’appareils que son concurrent à la Pomme. 46,9 millions pour le premier, et 35,1 millions pour le second. Pour Juniper Research, le passage en tête de Samsung pourrait ne pas être définitif, car son avance n’est pas si importante que cela.

D’autant que les revenus générés par la division mobile d’Apple restent supérieurs à ceux qui reviennent aux smartphones de Samsung. L’iPhone a ainsi rapporté 22,7 milliards de dollars au premier trimestre alors que Samsung n’a engrangé que 17 milliards de dollars environ pour toute sa division mobile. Sans citer de chiffres, l’étude indique que le Galaxy SII et le Galaxy Note comptent pour beaucoup dans ce chiffre d’affaires.

La course en tête des deux sociétés prend en tout cas des airs de lourde domination. En effet, selon Juniper Reasearch, à eux deux, les deux géants représentent près de 60 % du total des ventes de smartphones à l’échelle mondiale, établies à 139 millions d’unités, contre seulement 46 % le trimestre précédent.

Les autres acteurs, tels que HTC, RIM ou encore Nokia sont à la peine. Nokia n’ayant écoulé que, toujours selon l’étude Juniper Research, 11,9 millions de smartphones au premier trimestre. Pour rappel, le Galaxy SIII devrait être annoncé demain et l'iPhone 5 pourrait être dévoilé par Apple lors de sa prochaine WWDC.

( Source : http://www.01net.com/editorial/565245/guerre-des-smartphones-samsung-en-tete-apple-le-plus-riche/ )

Le Galaxy Note, de Samsung

Apple rejette de l’AppStore les applications utilisant Dropbox

La firme de Cupertino refuse la mise en ligne d’applications utilisant le SDK de Dropbox, qui mènent vers la page de création de compte du service. Les deux firmes travailleraient à une solution.

Les outils pour développeurs des services cloud peuvent poser problème à leurs utilisateurs. Sur le forum officiel de Dropbox, plusieurs développeurs se plaignent du rejet de leurs applications par la firme de Cupertino, au motif qu’elles passent outre le système de paiement in-app intégré au magasin.

Le paiement AppStore contourné

Ces applications utilisent ainsi le SDK de Dropbox, dont une particularité met à mal le chemin de paiement voulu par Apple.

Le SDK renvoie ainsi les utilisateurs d’une application n’étant pas membres de son service vers la page de création de compte, par laquelle il est possible d’accéder à la version « desktop » du site et, par la même, à ses options d’achat d’espace supplémentaire. La création du compte par ce biais n'est pas autorisée par l'AppStore. De même, en passant par ce lien, le futur membre peut éviter le système de paiement de l’AppStore, ce qui est contraire à son règlement.

Une nouvelle version temporaire du SDK a été créée, supprimant de la page d'identification les liens en question, avant de trouver une meilleure solution. « Apple rejette les applications utilisant le SDK de Dropbox parce que nous permettons aux utilisateurs de créer des comptes. Nous travaillons avec Apple pour trouver une solution garantissant une expérience utilisateur agréable » explique le service au site AppleInsider.

( Source : http://www.businessmobile.fr/actualites/apple-rejette-de-l-appstore-les-applications-utilisant-dropbox-39771310.htm )

Apple détient 8.8% du marché mobile dans le monde

Apple détient désormais 8.8% du marché mobile dans le monde et 24.2% du marché des smartphones – les smartphones représentant 36% du  marché des mobiles– d'après les estimations de la firme de recherche IDC.

Part du marché mobile (générale):

Part du marché des smartphones:

(Source : http://www.logicielmac.com/news/apple-detient-8-8-du-marche-mobile-dans-le-monde-7988.html)

La commercialisation de l'iPhone 5 reportée ?

À cause d'un retard de livraison de processeurs Qualcomm, Apple n'aurait d'autre choix que de retarder la commercialisation de son iPhone 5. La livraison serait reportée au mois d'octobre.

Alors que son plus sérieux adversaire va présenter dans une quinzaine de jours le Samsung Galaxy S3, Apple pourrait bien attendre six mois pour pousser dans les rayons le successeur de l'iPhone 4S. C'est ce qu'affirme un analyste du cabinet américain Piper Jaffray. Selon ce dernier, ce retard serait la conséquence d'une difficulté de production de processeurs chez Qualcomm, confronté à une très forte demande. L'analyste affirme que le prochain iPhone sera équipé d'un chipset conçu par le fondeur californien, avec lequel il collabore déjà.

Si cette révélation dit vrai, cela pourrait coûter cher à Apple dont l'action en bourse (587,44 dollars) est en baisse depuis plusieurs jours, notamment en raison d'un recul des ventes d'iPhone chez l'opérateur Verizon. Selon le cabinet Canaccord, la firme à la pomme devrait vendre moins de terminaux dans les mois à venir. Bon nombre de clients, dans les marchés occidentaux, préférant attendre le nouveau modèle. Pour Jefferies, au contraire, avec son incursion au Japon et en Chine, Apple n'aurait pas grand-chose à craindre.

Samsung, prêt à dégainer son nouveau modèle haut de gamme, pourrait donc bénéficier de quelques mois paisibles pour vendre à la pelle son nouveau bijou sans avoir à craindre l'arrivée du nouvel iPhone ? Le fabricant coréen, passé devant le leader mondial de la téléphonie Nokia, n'est certes pas seul acteur sur le terrain des androphones - la concurrence est un peu plus calme (moins de références par gamme), bien que toujours active -, mais son nouveau smartphone amiral 4G est clairement attendu. Il se pourrait néanmoins que de nombreux consommateurs décident de reporter l'achat d'un nouveau terminal jusqu'à la sortie du prochain iPhone, histoire de comparer les deux appareils.

En termes de rumeurs récentes autour de l'iPhone 5 (ou "nouvel iPhone" ?) compatible LTE, il est notamment question d'un changement de design. Le téléphone pourrait ne plus être habillé de plaque de verre, mais d'un alliage (titane, nickel, zirconium) plus solide, conçu par la société Liquidmetal, achetée par la firme il y a quelques années.

( Source : http://www.lesnumeriques.com/commercialisation-iphone-5-reportee-n24130.html )

L'analyste qui prédisait la chute d'Apple

George Colony, analyste et P-DG du cabinet Forrester Research, prédit le déclin d'Apple dans "l'ère post Steve Jobs". Dans un billet de blog, ce dernier explique pourquoi, selon lui, sans l'arrivée d'un leader charismatique dans les deux ans, Apple va chuter de son piédestal.

À renfort de citations, George Colony ose : il prédit que sans l'arrivée d'un leader charismatique pour remplacer Steve Jobs, Apple n'aurait que 24 à 48 mois avant de chuter, période durant laquelle l'entreprise à la pomme ne sera maintenue à flot que grâce à son élan. Au-delà de ce délai, l'image et la réussite d'Apple se dégraderaient progressivement, la société perdant de sa capacité d'innovation et voyant sa croissance financière altérée.

Pourquoi Apple chuterait ? George Colony justifie principalement son point de vue par la disparition de Steve Jobs et son incomparable charisme. L'analyste-P-DG cite le sociologue Max Weber qui décrit trois types de sociétés : bureaucratiques, traditionnelles et charismatiques (menée par un leader "magique"), Apple serait classée dans la troisième catégorie. Selon cet exemple, le charisme aurait le pouvoir de créer des révolutions. L'analyse est empreinte de mysticisme et sous-entend presque qu'Apple pourrait être comparé à une religion et Steve Jobs à son grand prêtre.

George Colony cite également l'éditorialiste Adam Lashinky, auteur d'un livre sur Apple. Selon lui, Steve Jobs était à l'origine de toutes les grandes décisions concernant l'entreprise. Apple serait une entreprise au centre de laquelle se trouverait un leader charismatique, entouré de "suiveurs". L'un des principaux défis d'une entreprise de type charismatique serait d'assurer la relève de son chef de troupe, phase dans laquelle Apple serait entrée. Selon cet analyste, la solution adoptée pour l'instant ne serait pas satisfaisante et ne mettrait pas l'entreprise à l'abri.

L'analyste va même jusqu'à comparer la future chute d'Apple au déclin qu'ont pu connaître Sony, Polaroid ou Disney suite au départ de leurs leaders respectifs Morita, Land ou Walt Disney. D'ailleurs, le billet de blog est intitulé "Apple = Sony".

Les prévisions apocalyptiques de George Colony semblent peu crédibles ou du moins exagérées. Soit, le charisme de Steve Jobs est indéniable. Mais l'analyse de Weber sur laquelle s'appuie George Colony est théorique. De plus, il ne s'appuie sur aucune analyse économique concrète et chiffrée. Ensuite, les entreprises auxquelles l'analyste compare Apple ne sont pas du tout comparables à Apple puisque leurs secteurs d'activité ne sont pas les mêmes. Par ailleurs, la situation économique actuelle n'est pas comparable à celle des époques auxquelles ces entreprises ont changé de leader.

Apple ne donne pour l'instant aucun signe de faiblesse ; en ce qui concerne l'innovation, elle est toujours bien présente, même si la sortie du new iPad a fait des déçus qui attendaient un iPad 3, les performances de l'appareil sont au rendez-vous, les ventes se portent bien. Apple annonçait récemment disposer de 100 milliards de dollars de liquidités et l'entreprise est toujours bien cotée en bourse. En bref, aucun signe de déclin à l'horizon pour l'instant. S'il faut en croire les sectes millénaristes, qui prévoient l'Armageddon le 21 décembre prochain, la fin du monde aura peut-être eu lieu avant le déclin d'Apple...

( Source : http://www.lesnumeriques.com/l-analyste-qui-predisait-chute-apple-n24225.html )